

Olympia ou la symbolique du félidé
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Olympia ou la symbolique du félidé
Marie Leonor, Les Jardins de Tokyo, (Marie Leonor-KGDD/Marie Leonor), Epic, 1983.
Le point de convergence
La mélodie se déploie dans des circonvolutions électriques, sur une gamme asiatique. Ici et là, Marie Leonor glisse quelques mots en japonais dont je serais bien incapable de dire quoi que ce soit. L’essentiel est ailleurs.
Derrière ce single anecdotique mais sympathique convergent en effet des monstres sous-marins de légende : une catastrophe naturelle, un montreur d’icône, des créatures issues d’une des premières épopées du monde et un rockeur cryptique. Voilà le programme.
L’amour a tout emporté
Marie Leonor n’est pas devenue riche avec Les Jardins de Tokyo, single tiré de son troisième album Pas déranger, simple succès d’estime. En revanche, sous le nom de M.


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