Félicitations ! Ton soutien à bien été envoyé à l’auteur
Nuits de folie

Nuits de folie

Publié le 21 nov. 2023 Mis à jour le 21 nov. 2023 Musique
time 2 min
2
J'adore
0
Solidaire
0
Waouh
thumb 0 commentaire
lecture 64 lectures
2
réactions

Sur Panodyssey, tu peux lire 30 publications par mois sans être connecté. Profite encore de 29 articles à découvrir ce mois-ci.

Pour ne pas être limité, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit ! Se connecter

Nuits de folie

 

Christophe Laurent, Nuits brésiliennes

Christophe Laurent, Nuits brésiliennes (Christophe Laurent – Oliver Andres), ER, 1985.

Morceau à déguster ici.

 

Tchic tchic

 

(Ocatarinetabella… tant pis si ça te fait pas marrer, je pouvais pas m’en empêcher)

 

La France et le Brésil, c’est n’est pas que « et un, et deux, et trois zéro », c’est aussi une longue histoire d’amour musical :

 

- Les premières bossas de Véronique Sanson pour Isabelle de Funès, la nièce de Louis : Mon voisin et Jusqu’à la tombée du jour ainsi que sa chanson Bahia. C’est vrai, dès que je peux parler de Véronique Sanson, je le fais, et alors quoi ?

 

- Pierre Vassiliu et son plus grand succès : Qui c’est celui-là ? Adapté de Partido Alto de Chico Buarque.

Pierre Vassiliu, Qui c'est celui là ?

 

- George Moustaki et Les eaux de mars, adapté de Aguas de março d’Elis Regina et Tom Jobim.

 

- Nino Ferrer et La rua Madureira, composition originale reprise ensuite par Nolwenn Leroy, Benjamin Biolay, Pauline Croze ou encore Stacey Kent. Les belles chansons ont la vie dure et les reins solides. Celle-là, elle est tellement belle, d’ailleurs, que je ne peux pas m’empêcher de mettre un lien ici.

Nino Ferrer, La Rua Madureira

 

Beaucoup de chansons de cette vague bossa ont été compilées par le label Born Bad :

Born Bad, Tchic Tchic

 

Born Bad, Tchic Tchic

 

 

Nuits brésiliennes

 

Un peu plus tardivement (1985), on trouve Christophe Laurent et sa guitare louchant une nouvelle fois outre-Atlantique pour ces nuits brésiliennes en plein Paris, c’est de la folie.

 

« On est bien

 

Mon voisin d’en face est parti

Et avec lui mes soirées de folie

Mon Borsalino bleuté

Reste chez moi accroché dans l’entrée

 

Nuits brésiliennes en plein Paris

C’était la folie

Toutes les étoiles du ciel se mélangent

Aux lumières oranges

Un peu de sable brésilien

Sur les quais parisiens

C’est la folie des latins

Jusqu’au petit matin

On est bien »

 

Plutôt classieux non ?

Le passage en brésilien est interprété par Nazaré Pereira, déjà croisée en ces lieux, en train de sauter sur une marelle.

Nazaré Pereira, La Marelle

 

 

lecture 64 lectures
thumb 0 commentaire
2
réactions

Commentaire (0)

Tu peux soutenir les auteurs indépendants qui te tiennent à coeur en leur faisant un don

Prolonger le voyage dans l'univers Musique
Il s’appelle Ziggy
Il s’appelle Ziggy

    Pas question de l’avatar de David Bowie ici, mais d’Un gar&ccedi...

Benjamin Mimouni
2 min

donate Tu peux soutenir les auteurs qui te tiennent à coeur