

Un tramway nommé désir (A streetcar named desire, Elia Kazan, 1951)
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Un tramway nommé désir (A streetcar named desire, Elia Kazan, 1951)
Revoir "Un Tramway nommé désir" (titre en soi mythique!) fait paraître à côté bien pâle la relecture de Woody ALLEN dans "Blue Jasmine" (2013). Cette différence tient en partie au climat poisseux de la Nouvelle-Orléans (porté à ébullition par les bains brûlants que ne cesse de prendre Blanche) conjugué à la promiscuité du minable appartement des Kowalski. Mais il est surtout dû à la manière viscérale dont les acteurs habitent leurs personnages. Ce que dégagent Marlon BRANDO et Vivien LEIGH est monstrueux, à tous les sens du terme. Le magnétisme animal du premier et la folie intérieure de la seconde qui souffrait réellement de troubles bipolaires crèvent l'écran. Ils explorent chacun à leur façon les limites de l'humain. Inutile de préciser qu'avec de telles prestations, tout jugement


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