Mon cher Léonard
Tu ne peux plus consulter d’articles ce mois-ci sans être connecté.
Pour ne pas être limité et profiter pleinement de nouvelles fonctionnalités, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter
Mon cher Léonard
Du Louvre, ce vingt-deuxième jour de juillet, en l'an deux mille vingt-cinq.
Cher Maître Léonard,
Il est des instants qui s'ancrent au-delà du temps, des silences qui résonnent avec une profondeur que les clameurs et l'agitation des siècles ne sauraient jamais altérer. Je vous écris, non point depuis ma toile figée sous le verre protecteur de cette demeure qu'ils nomment "musée", mais depuis ce cœur que vous avez si subtilement murmuré sous mes pigments, le vibrant écho, j'ose le croire, de vos propres battements. Mon cher Créateur, les contours baignés d'une lumière florentine douce de votre atelier, l'odeur enivrante et chère de l'huile et de la térébenthine mêlée au parfum des essences rares et de la sciure fraîche, le doux craquement du bois sous vos pinceaux, chaque frôlement de soie
Tu ne peux plus consulter d’articles ce mois-ci sans être connecté.
Pour ne pas être limité et profiter pleinement de nouvelles fonctionnalités, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter
Contribuer
Tu peux soutenir les auteurs qui te tiennent à coeur

