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Dans un jardin qu'on dirait éternel (Nichinichi Kore Kôjitsu, Tatsushi Omori, 2018)

Dans un jardin qu'on dirait éternel (Nichinichi Kore Kôjitsu, Tatsushi Omori, 2018)

Publié le 4 sept. 2020 Mis à jour le 4 sept. 2020 Culture
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Dans un jardin qu'on dirait éternel (Nichinichi Kore Kôjitsu, Tatsushi Omori, 2018)

"Dans un jardin qu'on dirait éternel" qui se déroule sur plus d'une trentaine d'années cite trois fois "La Strada" (1954) de Federico FELLINI, l'héroïne ayant à chaque fois une vision différente du film en fonction de son âge et de son expérience. Cette comparaison est intéressante parce que "La Strada" épouse une temporalité linéaire, celle du road movie alors que "Dans un jardin qu'on dirait éternel" évoque le temps cyclique, celui des rituels toujours recommencés dans lequel se trouve le secret du bonheur. Pourtant "La Strada" et "Dans un jardin qu'on dirait éternel" racontent deux itinéraires plus spirituels que temporels au bout desquels les personnages finissent par être "touchés par la grâce" et sortir de leur condition humaine pour accéder à une dimension supérieure. Si "Dans un

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