L’assassin habite au 21 (1942) Henri-Georges Clouzot
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L’assassin habite au 21 (1942) Henri-Georges Clouzot
Élégant suspense magistralement orchestré
Pour l’un de ses premiers films en tant que metteur en scène, Henri-Georges Clouzot choisit de mettre en images un roman de l’auteur belge Stanislas André Steerman. Nous sommes en pleine guerre mondiale et Clouzot vient d’écrire un scénario basé sur l'un de ses romans, Le dernier des six, réalisé par Georges Lacombe et qui fut un succès. La Continental (dirigée alors par les Allemands, Occupation oblige) décide de lui commander une autre adaptation de l’auteur belge et ce sera L’assassin habite au 21. Ainsi, un an avant le magistral Corbeau (œuvre magistrale), Clouzot analysait déjà, dans un climat fort tendu, les origines du Mal, tout en n’ayant l’air de faire un petit polar bien tranquille.
Un meurtrier sévit en plein cœur de Paris, signant
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