Félicitations ! Ton soutien à bien été envoyé à l’auteur
Lyvres
Téléski qui croyait prendre

Téléski qui croyait prendre

Publié le 15 mai 2020 Mis à jour le 15 mai 2020 Culture
time 2 min
CREATIVE ROOM

Lyvres

Accueil
0
J'adore
0
Solidaire
0
Waouh
thumb 0 commentaire
lecture 41 lectures
0
réaction

Sur Panodyssey, tu peux lire 30 publications par mois sans être connecté. Profite encore de 29 articles à découvrir ce mois-ci.

Pour ne pas être limité, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit ! Se connecter

Téléski qui croyait prendre

Téléski qui croyait prendre, Florian Dennisson, Chambre noire 2016

Gabriel Lecouvreur, Le Poulpe, comme chaque matin, prend son café au café de Gérard : Au pied de porc à la Sainte-Scolasse et lit la presse. Sauf que ce matin-là, Le Parisien a disparu, il doit se rabattre sur Le Dauphiné libéré. La nouvelle du canard local, c'est que Guillaume Verdannet, l'un des hommes qui comptent à Courchevel -c'est sa famille qui détient la moitié de la ville- a été assassiné. Un peu en froid avec Cheryl, Le Poulpe décide de s'aérer les bronches à la montagne, d'autant plus que la saison de ski terminée, les touristes n'y seront plus, et d'enquêter sur cette mort et ce cambriolage mystérieux.

Enquête du Poulpe hors des clous, non éditée à La Baleine puisque la collection était en stand-by. C'est donc une enquête qui respecte la bible poulpienne tout en étant non officielle. Et pour être franc, ce n'est pas la meilleure que j'aie lue. Pas nulle ni désagréable, mais parfois longue et répétitive. On sent bien que Florian Dennisson a tenté de coller au Poulpe, tant par ses goûts et aventures que par le langage utilisé, mais à mon avis, et il n'a de valeur qu'ici, il n'est pas encore à la hauteur des grands titres de la collection.

Ceci étant dit, le voyage à Courchevel est loin d'être désagréable et si l'on peut deviner assez vite qui a commis le meurtre, la ou les raison(s) s'éclairant petit à petit, on a plaisir à voir Gabriel Lecouvreur évoluer dans le monde des riches propriétaires de la station de ski. Pas indispensable, mais si vous avez l'occasion, pourquoi pas ?

NB : mais pourquoi les éditeurs laissent-ils passer les fautes très courantes de conjugaison des verbes courir et mourir ? Je la retrouve assez souvent lorsque ces verbes sont utilisés à l'imparfait avec deux "r" comme ils devraient l'être au conditionnel présent. Dans ce roman, on a le droit aux deux verbes mal conjugués... Je ne voudrais pas faire mon donneur de leçon ni mon correcteur à deux balles, mais c'est un brin agaçant.

lecture 41 lectures
thumb 0 commentaire
0
réaction

Commentaire (0)

Tu aimes les publications Panodyssey ?
Soutiens leurs auteurs indépendants !

Prolonger le voyage dans l'univers Culture
COME IN ! 
COME IN ! 

  Light each day enters, and political stage is coming to be clearer : no Deep State, a fantasy

Cecile Voisset
3 min

donate Tu peux soutenir les auteurs qui te tiennent à coeur