

Le virus du voyage à l’épreuve de l’ardente patience
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Le virus du voyage à l’épreuve de l’ardente patience
Aller sous le ciel, Muse… Céder à l’appel du large, à l’appel de la forêt, au « call of the wild » cher à Jack London pour mettre de l’air au confinement de nos vies, de nos agendas, de nos pauvres rituels quotidiens dont nous sentions, il y a quelques jours encore, les limites et les contraintes…
Cet appel doit être aujourd’hui entendu autrement.
Au fil du temps, nous avions tous déjà cédé à cette frénésie. Trépidation des aéroports, promiscuité vibrante des décollages, proses des transsibériens ou route du Far West, « hit the road »… Et toute cette agitation dans un seul et même but : celui de conquérir la part rêvée de sauvagerie qui nous échappe, nous tente, nous malmène… Tout cela pour arriver, au terme du voyage, dans l’auberge à la Grande Ourse, la cabane dans les forêts de


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