

Boris au chant, Serge au piano
Tu ne peux plus consulter d’articles ce mois-ci sans être connecté.
Pour ne pas être limité et profiter pleinement de nouvelles fonctionnalités, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter
Boris au chant, Serge au piano
En 1955, Boris Vian entame un tour de chant. Jusqu'alors, il n'avait écrit des chansons que pour les autres, dont Henri Salvador ou Juliette Gréco. Cette fois-ci, il interprète lui-même sur scène ses fameuses chansons possibles et impossibles. Celui qui l'accompagne au piano n'est autre que Serge Gainsbourg.
Aussitôt, Gainsbourg tombe sous le charme de cet homme timide et plein de fantaisie, aussi à l'aise avec sa plume que mal-à-l'aise face à la réalité de la scène et du public. Moment de grâce que celui de cette rencontre entre un Boris Vian cristallisant sur sa figure de chanteur, tout proche de la fin de sa carrière et de sa vie, ses identités successives (outre Vernon Sullivan, pseudonyme choisi pour la publication de J'irai cracher sur vos tombes, il a multiplié les noms de


Tu ne peux plus consulter d’articles ce mois-ci sans être connecté.
Pour ne pas être limité et profiter pleinement de nouvelles fonctionnalités, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter