

Billy Elliot (Stephen Daldry, 2000)
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Billy Elliot (Stephen Daldry, 2000)
C'est un film extrêmement riche et extrêmement limpide à la fois. Il aurait pu s'intituler "la révolte". Bien que servant de toile de fond au film, il ne s'agit pas de celle des mineurs face à Thatcher en 1984. Pas seulement parce qu'elle est perdue d'avance mais parce qu'elle annonce la fin d'un monde ouvrier communautaire et solidaire mais également étouffant, limité, insulaire, conservateur, conformiste, uniforme. Un monde dont s'accommodait d'ailleurs très bien l'establishment conservateur ("chacun chez soi et les vaches seront bien gardées").
La révolte, la vraie, provient d'un individu "différent" (donc toujours solitaire, exclu ou incompris) dont la créativité n'a pas encore été brisée par le milieu environnant. Un individu donc très jeune forcément, en phase de construction. Ici


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