

Rain Man (Barry Levinson, 1988)
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Rain Man (Barry Levinson, 1988)
"Rain Man", c'est le sparadrap qui colle aux basques des représentations sur l'autisme au cinéma. Référence quelque peu écrasante et datée qui depuis a été certes rectifiée mais sans que cela ne déboulonne pour autant la statue du commandeur puisque tout film qui sort mettant en scène un autiste est aussitôt comparé à "Rain Man". Tout n'est certes pas mauvais dans cette représentation. On y voit que la place d'un autiste n'est pas à l'asile, que la différence se situe dans le cerveau et est donc neurologique (et non psychologique) et qu'il ne peut évoluer qu'en fréquentant le reste de la société. On précise également que le cas de Raymond Babbitt est exceptionnel, la majorité des autistes étant non verbaux. Il n'est pas précisé que c'est parce qu'il est atteint du syndrome d'Asperger


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