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L’éducation non genrée, c’est nouveau, ça vient de sortir comme disait Coluche.

L’éducation non genrée, c’est nouveau, ça vient de sortir comme disait Coluche.

Publié le 28 juil. 2022 Mis à jour le 28 juil. 2022 Culture
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L’éducation non genrée, c’est nouveau, ça vient de sortir comme disait Coluche.

Bonjour.

En 2022, mes belins, mes belines, il est mal vu et tellement compliqué d’être simplement une fille ou simplement un garçon  ! Comme si, on n’avait pas l’habitude, chez nous, de voir nos gones et nos fenotes (je suis Lyonnaise de naissance), jouer avec les affaires des uns et des autres sans distinction et sans se poser de questions.

Je suis entièrement d’accord avec le principe de ne pas cantonner filles et garçons dans des rôles prédéfinis, mais il ne faut pas pousser le bouchon trop loin, au risque de causer de gros ravages dans les esprits de nos petiots.

Le jeu, ça fait grandir. 

  • Peu importe que ce soit avec une poupée (une vraie pas une de ces choses immondes, sans visage, dignes d’un film d’horreur. Elles me fichent une sacrée trouille celles-ci, alors aux petiots c’est bien pire), un camion ou un jeu de société, qu’importe pourvu qu’ils se construisent en jouant.
  • Les mœurs ont changé, quand on voit les garçons jouer au papa avec des poutrones (poupées en parler lyonnais), et les filles aux voitures, ça ne choque plus personne fort heureusement ! D’ailleurs, l’exemple vient bien des parents modernes, les vrais, et si les grands-parents peuvent donner un coup de main, foi de Mamicha, on se retrousse les manches et haut les cœurs !

Une nouvelle éducation pour les parents démissionnaires, indécis, voire incompétents ?

  • Les enfants, je ne me lasserai jamais de le dire, ne viennent pas au monde avec leur mode d’emploi personnalisé. Aux parents de s’adapter sans pour autant en faire des enfants rois qui seront exclus, mis au ban d’une société qui, si elle est souvent cruelle, est le fondement de l’humanité. Si l’on ne se sent pas capable d’assumer, devant l’ampleur de la tâche, il serait préférable de ne pas faire d’enfant (ce n’est nullement une obligation), chacun fait comme il veut, cela s’entend.  
  • Mais, limitons les ravages des nouveautés éducatives lues dans tel journal, visionnées dans telle émission télé, cessons de nous plier aux diktats sous prétexte d’une évolution bénéfique (qui reste à prouver dans le temps).

Je ne vois pas vraiment pourquoi l’on tient tellement à compliquer les choses.

  • En prétendant les simplifier, cela reste un mystère pour moi (comment un tel comportement simplifierait la vie et rendrait les gens plus heureux ?) Mais je suis vieille, et je ne me suis certainement pas posé assez de questions pour élever mes 5 enfants du même papa, (je sais, c’est bizarre actuellement).
  • J’ai moi aussi commis des erreurs, je ne suis pas exempte de cela, je suis humaine et ne prétends pas me poser en donneuse de leçons, mais…

Les pauvres progénitures !

De nos jours bien avant l’adolescence (poussées par des géniteurs qui feraient mieux de consulter des professionnels de santé, j’ai nommé les psy, avant de les perturber et les pousser parfois jusqu’au suicide), ne savent même plus qui ils sont !

Laissons nos enfants se construire sereinement, tant que faire se peut.

  • J’entends, je cite : « je ne me reconnais pas avec le genre que l’on m’a attribué à la naissance » ! Ce n’était pas un jeu de pile ou face à la maternité, garçon ou fille, ça se voit, sauf cas rare et très particulier. Il y a des filles « garçons manqués » et des garçons « efféminés », quelle importance ? S’ils y trouvent leur équilibre ?
  • La transidentité, la non-binarité, etc. Tout cela ne doit pas découler d’un effet de mode ni représenter un fourre-tout où entasser les problèmes, croyant avoir trouvé la solution à un mal être, qu’il soit de la parentalité, de l’enfance ou de

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