

L'ennui est empereur
Tu ne peux plus consulter d’articles ce mois-ci sans être connecté.
Pour ne pas être limité et profiter pleinement de nouvelles fonctionnalités, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter
L'ennui est empereur
L’ennui est empereur
L’ennui, l’ennui comme un regard ; peut-être.
Et pourtant, pourtant, je me souviens :
D’un feu qu’on m’a dit brûler dans le mien,
Il y a longtemps, braises et foyers d’espérances.
Je ne sais la violence qui m’a un jour brisé les os comme des calcins de bois qui se séparent de la bûche ardente et noire, une à une, rejoignant des braises destinées à s’éteindre.
Je ne sais l’époque où mes yeux choisirent de ne plus croire en l’amour, mais de le vivre comme un passage inévitable de l’histoire où je n’ai que choix d’aimer, ni l’amour, ni l’être, la vie à deux.
Ou peut-être que je l’ai su, une fois ; j’avais l’envie folle et icarienne de me jeter loin des autres, de voler seul sur les nuits, immodérément ; et j’ai


Tu ne peux plus consulter d’articles ce mois-ci sans être connecté.
Pour ne pas être limité et profiter pleinement de nouvelles fonctionnalités, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter