

Mon monde, ses deux mains
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Mon monde, ses deux mains
Prisonnier, tapi au fond de ma caverne,
Une vie étriquée, entre blême et terne.
A l'étroit dans cette lampe, recouverte de poussière,
J'avais perdu l'espoir qu'un jour on me libère.
Tant de paumes, ce métal, avaient tenté d'effleurer,
Tant de vaines tentatives, d'infructueux essais,
De faire vivre mon âme dans ce qu'elle a de plus vrai.
Elle restait sans lumière, dans cette fadeur cuivrée.
La vie s'est chargée d'envoyer mon Aladin,
Héroïne de mon monde, messie au féminin.
Elle caresse ma geôle de ses mains pures et douces,
Elle délivre mon djinn, vers le meilleur elle me pousse.
Aladin en arabe, une "sublime croyance",
Mon Moi révélé, au quotidien je l'encense.
Je m'exprime, je m'essaie, en prose, en poésie,
Libéré par ses mains, mille et un mercis.


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Bernard Ducosson il y a 2 ans
A mon âge j'apprends encore des choses avec le mot djinn, j'avais cru qu'elle t'avait débraguetté "en te poussant vers le meilleur". Tu fais comme moi, de la poésie à tiroirs ! J'apprécie beaucoup ton humour...
Fabrice Jayles il y a 2 ans
C'est vrai qu'on peut y voir un double sens! Merci pour ton retour Bernard, c'est réciproque :)