

Chroniques sur l'imaginaire de la Covid en Afrique : Le Confinement de l'eau et du savon
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Chroniques sur l'imaginaire de la Covid en Afrique : Le Confinement de l'eau et du savon
Texte 1
La nuit a été très longue. Maintenant que ma cousine Temgoua n’a plus rien à faire à beng[1], elle passe son temps à nous casser les oreilles au téléphone. Mais on va faire comment ? Cela nous permet encore de rire et nous rappeler le bon vieux temps. Le Corona virus a eu un impact positif sur le cœur de ma sœur. Avant l’extrême violence de la pandémie, tu écrivais à Temgoua, elle ignorait les mots. On pouvait croire que répondre à nos messages pouvait la faire noircir alors qu’elle devenait déjà blanche sur ses photos. Je me rappelle ce jour auquel tantine Ndogmo a conclu par elle pense qu’on écrit seulement pour le grattage[2]. Actuellement, on peut encore se marrer avec Temgoua et se souvenir des petits dragueurs du passé.
Je me suis réveillé un peu tard. Le menuisier du


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