Aaah le mordant !
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Aaah le mordant !
Quand on écrit, il y a toujours un risque.
Entre autres, celui d’être trop mordant face à des faits, ou quand on veut faire réagir un adversaire, un concurrent.
Est-ce un mal ?
Un bien ?
Le mordant a cette particularité de réveiller, éclairer, ou encore de pousser à réfléchir.
Mais également de blesser inutilement, quand il dépasse le propos, voire détourner le message.
Tout est dans la mesure et surtout, l’intention !
Bien sûr, cela dépend du mordant lâché ou reçu, et de la position que l’on a... auteur ou récepteur...
Mon opinion est que, si l’on utilise du mordant dans nos écrits, cela ne nous dispense pas de faire preuve de politesse, bienséance et respect.
Après tout, on pourrait être celui ou celle qui en fait l’objet !

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