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Du « non agir » appliqué au monde d’après le confinement…
Publié le 13 mai 2020
Mis à jour le 29 sept. 2020
Politique
8 min
Politique
Publié le 13 mai 2020
Mis à jour le 29 sept. 2020
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Du « non agir » appliqué au monde d’après le confinement…
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La radicalité de la rupture dans la course effrénée aux biens (pas forcément biens…), à la consommation, à la compétition et à la mobilité, a, malgré toute la souffrance produite par cette crise, permis de se recentrer et de se poser pour réfléchir. Nous avons aussi, malgré le stress, goûté ce silence, ce temps qui s’allonge soudain, l’air qui s’éclaircit, les priorités qui changent.
Que voulons nous vraiment? Qu’est ce qui est important, nécessaire ou juste accessoire? Qu’est ce qui fait que la vie vaut d’être vécue? Devons nous toujours aller irrémédiablement (et diablement…) vers plus de réchauffement, d’inégalités, de pollution, de migrants, de conflits internationaux, de destruction du vivant en général?
La crise mondiale peut t elle nous permettre de trouver un élan pour changer
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