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Poésie
De l’ombre à l’étincelle

De l’ombre à l’étincelle

Publié le 14 juil. 2025 Mis à jour le 14 juil. 2025 Poésie et chanson
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De l’ombre à l’étincelle

Quand l’ombre t'accable de remords qu'elle essaye de te mener vers la mort. Quand tu es plus bas que l’abysses des océans En bas.Quand plus rien n'est la pour t'écouter je serais là.


Quand le fantôme du passé viendra te hanter. Quand ce monstre viendra tout gâcher. Je serais la.

Solide roc sur lequel tu peux t'appuyer. Je te suivrais peut importe le chemin. Je serais derrière toi. Murmure inaudible. Cri sans son. Mot sans articulations.

Car c'est toi. Car c'est nous. Car c'est ensemble que nous allons.


Quand tu sera brise anéanti par les souvenirs ou par cette peur de ne pas réussir. Endormie seule a l’orée d'une nuit sans faille. Une nuit sans lumière.

Quand tu aura si mal que les cris et les mots ne suffiront plus. Quand tu mourras d'inquiétude pour toi ou pour nous.


Tu trouveras une force au fond de toi. Une petite flamme vaillante qui vacille, bluette de la bougie. La cire fondra tu aura mal parfois mais la flamme jamais ne s'éteindra. Lueur d'un espoir sans ennemi douceur d'un soir ou d'un repis.

N’ai pas peur vient dans mes bras. Tu reviendra pleine de cicatrice , plein de supplice tu me regardera les yeux plein de larme. La peur t’irradie. Tu crains ta vie.

Mais tu es la , la foi te poussant encore a combattre. Même si le monde est si gris même si tu n'as pas forcément ta place ici. Même s'il faut perdre certain, tracer un autre chemin. Écrire dans tes rayures un peu de bravoure.


La au millieu d'une nature étouffante tu cherche une fente, une issue. Tu flanche. Blesse, accaparé et apeuré par trop de simplicité. Puis tu te rappelle de cette luminescence,cette ardente, qui te brûlait autant que tu l'admirais. Alors tu t'es mise a écouter les bruissement les tourments et les torrents tu t'es glisser dans les ruissellement du cours d'eau tu a laisser les éclats de l'éternel rayonner sur ton dos laisser des tâches de rousseur, dessin d’un renouveau.


Tu t'es mise a courrir sur l’hebe fraîche qui te faisais si peur.

A grimper au arbres sans avoir a craindre la hauteur

A écouter les souffles du vent

A siffloter en même temps

A admirer le feu


Tu t'es changer

En décidait d’évoluer

D'avancer.

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