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Troisième partie : rayonnement du maloya (10)
Avant de terminer, je voulais revenir une dernière fois sur cette histoire de sacs en plastique frottés, car elle me semble tout à fait représentative à la fois du personnage et de l'aura nébuleuse qui l'entoure.
On sait qu'il arrivait à Alain Péters d'attraper un sac en plastique et de le frotter devant le micro pour obtenir un son proche de celui du kayamb. On ne sait pas à quel moment exactement a débuté cette pratique étrange, mais c'est chez Jean-Marie Pirot que cela s'est manifesté pour la première fois. Il y avait à l'époque du Studio Royal une armada de musiciens et des instruments de tous les côtés. Il suffisait de se baisser pour attraper un kayamb, enfin peut être pas vu les risques encourus, ils étaient sûrement dissimulés,


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Stéphane Hoegel il y a 1 an
L'anecdote du sac plastique pour faire de la musique m'a rappelé l'anniversaire d'un ami réunionnais : boeuf improvisé entre musicos, un avec sa guitare, l'autre avec un cajon, et le troisième avec un sac plastique en guise de kayamb :-)
Benjamin Mimouni il y a 1 an
Toi aussi tu perpétues la légende.