GUIGNOL c'est comme La guerre pour les Nuls c'est-à-dire selon les covidiens (maîtres de marionnettes, escroquerie gigantesque qui ne va pas faire long feu); je me demande (à cause du thème de l'inversion qui insiste dans leur narrative et ses espèces (mesures d'application) s'il n'y en a pas qui ont l'homosexualité mauvaise comme on peut avoir le vin mauvais....

Au programme : Guignol, marionnette ou la France en campagne électorale, en passant par les USA et en revenant à l'hexagone aussi petit soit-il que l'est l'espace de choix pour le vote à venir.

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Les Français, si cela continue, vont élire un résident et non pas un président. Le sortant ne préside rien ou pas grand-chose, aligné sur la politique covidienne c'est-à-dire étasunienne et suprémaciste. Le COVIDISME est un suprémacisme blanc, autrement dit un racisme. L'aide de la Finance, du moins telle qu'elle existe instamment et institutionnellement pour l'instant, n'est pas une aide aux citoyens (le FMI moralise généralement avec la Dette). L'affaire Corona, dont on est en train de démêler les tenants et les aboutissants, est une affaire américaine et de corruption; pour l'instant, c'est de conspiration dont on entend parler. La corruption s'exprime entre autres par le conflit d'intérêts ; voyez ainsi comment une fonction - au sommet - peut être utilisée perversement, par la pratique du mélange des genres dont l'affaire MacKinsey (cabinet de conseils payé avec votre argent) est emblématique.

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Le Covidisme est un suprémacisme c'est-à-dire un racisme. Pourquoi ? Parce qu'il suppose qu'il y aurait une catégorie supérrieure aux autres, au-dessus d'elles. Le suprémacisme covidien, blanc, est un confessionisme ; j'invente à dessein ce terme pour insister sur l'intégrisme d'une confession telle qu'elle est utilisée pour prétendre au sens d'avoir la présomption de, de se croire être autorisé à ; le trumpisme est ce suprémacisme-là. Le félon Trump, inculpé ou en voie et à plusieurs titres, est très ambivalent et donc il est très nettement interrogeable sur son rapport à la confession, la sienne, et sur son rapport altéré ou politisé à elle. Le trucage de l'élection présidentielle, dont il a accusé son advers