

Le droit à la tristesse
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Le droit à la tristesse
Après être tombé une énième fois sur le poncif « Ne laissez pas les gens négatifs voler votre joie », avec, en bonus, l’idée qu’il faut « fuir toute personne qui ne vibre pas du positif », mon petit cœur d’humain faillible a réagi (oui oui, je n’en ai pas l’air, mais je suis sensible).
Car oui, la tristesse, si elle est ressentie, doit être vécue pleinement. Y renoncer parce que « c’est pas très positif », c’est la refouler, ce qui n’est jamais bon. Si on le fait, tôt ou tard, elle resurgira de manière amplifiée, déformée, pervertie, et ce, au pire moment en général.
N’en déplaise aux adeptes du positivisme qui détournent le regard et se bouchent les oreilles dès qu’une chose n’est pas « positive » ou « belle » ou « lumineuse » ; ils


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