Un service militaire sur volontariat : Répondre par la discipline aux urgences d’un système qui abandonne la jeunesse
Un service militaire sur volontariat : Répondre par la discipline aux urgences d’un système qui abandonne la jeunesse
Synthèse critique
L’annonce du 27 novembre 2025 d’un service volontaire de 10 mois en France, censé mobiliser 3000 jeunes en 2026 et 50000 en 2035, incarne une logique de gouvernement des sociétés contemporaines.
Plutôt que d’investir massivement dans l’éducation nationale, et l’insertion sociale des jeunes les plus précaires, l’exécutif choisit la militarisation comme solution aux fractures de la jeunesse. Ce choix révèle un modèle de société ou la discipline et l’encadrement militaire se substituent à la promesse d’égalité par l’éducation, et ou l’ordre s’affirme comme priorité face aux aspirations d'émancipation.
C’est dans ce contexte que le volontariat masque un ciblage social réel : ceux qui seront les plus attirés par une rémunération mensuelle de 900€, c'est-à -dire la jeunesse précaire, déscolarisée, et reléguée aux marges du système.
Le refus d’investir dans l’éducation, une stratégie politique volontaire
La situation de l’éducation nationale française révèle un choix budgétaire clair : le désinvestissement systématique[1]. Malgré le statut officiel de “Premier budget de l’Etat”, les dépenses éducatives en euros constants ont stagné et même décliné. Le rapport de la cour des comptes en 2025 note que les dépenses intérieures d’éducation représentaient 6.7% du PIB en 2023, contre 7.8% en 1995. Un recul fondamentale qui disqualifie le récit gouvernemental de continuation[2]. Concrètement, ce sous-investissement chronique se manifeste par des classes parmi les plus chargées de l’OCDE, une réduction drastique des crédits pédagogiques (suppression du financement des manuels scolaires en 2025), et l’abandon de secteurs entiers comme la prévention et la formation des enseignants [1][3][4].
A l’inverse, le militaire bénéficie d'une trajectoire ascendante spectaculaire. En 2023 les dépenses de la mission Défense s’élevaient à 54.8 milliards d’euros (1.9% du PIB), avec une augmentation programmée de 3.5 milliards par an jusqu’à atteindre 68 milliards en 2030[5][6]. Cette dynamique s’accélère : le projet de budget 2026 prévoit une hausse supplémentaire de 6.7 milliards d’euros pour atteindre 57.1 milliards. En parallèle, la France s’engage auprès de l’OTAN à atteindre 3.5% du PIB en dépense militaire, ce qui exigerait environ 122 milliards d’euro en 2030[7]. Cette allocation massive contraste brutalement avec le plafonnement des budgets sociaux.
Le service militaire volontaire, avec un coût estimé de 2 milliards d’euro d’ici 2030[8], s’inscrit dans cette logique de réallocation: plutôt que de transformer le système éducatif en affectant les ressources dégagées par la baisse démographique à la réduction des effectifs par classe (une mesure aux effets prouvés sur l’égalité)[9], on préfère militariser l’insertion des jeune. c’est un choix politique, pas une fatalité économique.
Le gouvernement s’arme pendant que l’école publique s’appauvrit.
Les cibles réelles: les jeunes précaires et sans perspectives
Les discours officiels présentent le service militaire comme ouvert à “tous les jeunes français de 18 à 25 ans”[10]. Or la sociologie des recrutements militaires contredit cette façade universaliste. Les études documentent une réalitée nette : ce sont les jeunes des classe populaires, ceux privés de capital culturel et économique, qui constituent le vivier de l’engagement militaire[11].
Les chiffres sur la jeunesse précaire en France sont accablants. En 2025, 62% des jeunes de 18-24 ans vivent en situation de précarité alimentaire, contre 58% en 2024[12]. Parmi les foyers ayant au moins 1000€ net par mois, cette proportion monte à 73%
Environ 1.3 million de jeunes de 18-29 ans vivent sous le seuil de pauvreté[13]. Dans les quartiers populaires, le taux de chômage des jeunes de moins de 30 ans atteint 26%, deux fois supérieur aux autres quartiers[14][15]. Pour les non diplômés de ces territoires, les taux montent à 25 ou 30%, des niveaux dépassant les 50% dans les secteurs les plus dévastés[16][14].
Le service militaire volontaire, rémunéré à 900€ par mois, acquiert une fonction sociale précise dans ce contexte : il se positionne comme option d’insertion pour les jeunes sans issues. Ceux qui découvrent en mai qu’ils n’ont pas eu d’affectation Parcoursup, ceux qui ont quitté le système scolaire sans qualification, ceux qui alternent entre chômage et contrat précaire. Ces populations trouvent dans l’uniforme une promesse de stabilité relative, d'hébergement, de nourriture, et d’une possible qualification. L’analyse qualitative du recrutement militaire est éloquente : les jeunes engagés mobilisent “leur capacités physiques à des fins professionnelles” comme stratégie de “redress” face à un échec scolaire perçu comme définitif, ou comme compensateur face à un marché du travail hostile[11].
Ce ciblage social ne découle pas de la malveillance, mais d’une architecture systémique. Les jeunes dotés de capital économique ne posent la question du service militaire que comme exercice rhétorique ou patriotique. Les jeunes sans ressources voient en lui une ancre de survie. L’institution militaire sait cela depuis longtemps : au sein des centres de recrutement, on observe des “jeunes provenant des quartiers relégués” des banlieues qui “signalaient spontanément leurs grandes aptitudes sportives” comme compensation à leurs “faibles accréditations scolaires”[11].
C’est systémique.
L’armée comme cadre de socialisation : un détournement de vocation
La revendication gouvernementale que l’armée doive servir de “cadre socio-éducatif” pour les jeunes en difficulté mérite une critique frontale.
Bénédicte Chéron, historienne contemporaine, l’exprime clairement : “l’armée n’a pas vocation à servir de cadre socio-éducatif. Les Français sont attachés au service militaire comme levier d’intégration, mais on se fait beaucoup d’illusions sur ses effets positifs”[17]. Les apprentissages du service militaire, discipline, maniement des armes, rituels militaires, ne résolvent pas les déficits en capital culturel, en qualification reconnues ou en opportunités d’emploi stable. Ils produisent au contraire un processus que Foucault a conceptualisé comme “disciplinaire” : un assujettissement ou le contrôle minutieux du corps s’accompagne de la fabrication d’une habitus docile[18].
Les précédents confirment cette analyse. Entre 1989 et 1997, plusieurs gouvernements ont confié à l’armée la “mission” de résoudre les problèmes d'intégration des jeunes issus de l’immigration. Les rapports montrent explicitement : ça n’a pas marché[17]. Le colonel Yves Biville notait en 1990 que les jeunes appelés français d’origine maghrébine connaissaient des taux de désertion 3.5 fois supérieurs à la moyenne, et des taux de conflits 5 fois supérieurs[19]. Non pas en raison d’une incapacité individuelle, mais parce que l'armée n’est pas une institution éducative, et que vouloir transformer les structures sociales en les confiant à une hiérarchie militaire relève de l’illusion.
Ce qui se joue, c’est une redistribution des responsabilités. Au lieu de questionner pourquoi l’école publique n’intègre pas les jeunes, pourquoi le marché du travail les rejette, pourquoi les territoires s’appauvrissent, on délègue à l’armée le soin de “redresser” les individus. C’est la substitution de la correction individuelle à la transformation collective. Cela reflète une vision du monde ou le problème réside non dans les structures inégales, mais dans l’absence de discipline chez les jeunes précaire. Une vision que la pensée critique dénonce depuis longtemps en tant que mystification[20].
Militarisation progressive : du volontariat à l’obligation
L’annonce présidentielle contient une phrase qui mérite une attention particulière.
Emmanuel Macron a déclaré : “Si les menaces s’aggravent, la Parlement pourra autoriser l’intégration obligatoire d’un certain nombre de jeunes”[21]. Le volontariat n’est donc pas un point d’arrivée, c’est une étape.
Cette possibilité d’évolution vers l’obligation répond à une logique que la science politique connaît bien : celle de la “fenêtre d’Overton”. l’opinion publique sur le service militaire a basculé remarquablement en quelques années. Un sondage Ifop (novembre 2025) indique que 81% des Français sont favorables à un service militaire volontaire , et 64% demandent même son rétablissement obligatoire[22]. Ce renversement d’opinion de 41% en 1997 à 64% en 2025, traduit un succès stratégique en normalisation. Une fois le volontariat implanté, une fois la jeunesse habituée à l’idée du service, une fois les infrastructures construites, le passage à l’obligation deviendra une simple question d’ajustement administratif.
les coûts calculés l'illustrent clairement. Un service civil obligatoire de six mois pour tous coûterait 7.2 à 14.5 milliards d’euros par an selon les scénarios[23]. Le service volontaire annoncé, avec une trajectoire montante, coûte 2 milliards[8]. Mais ces coûts ne sont pas comparables : le volontariat crée une infrastructure, des cadres, une légitimité sociale. Une fois implantée, l'obligation peut y recourir en la forçant. L’exemple suédois ou balt le montre, ces pays ont rétabli la conscription après l’avoir abandonnée. La stratégie est celle d’un enracinement progressif.
Ce qui devrait alarmer, c’est que cette évolution vers l’obligation ne visera pas les jeunes des classes aisées - qui disposeront des exemptions, des dérogations, des reclassement. Elle affectera les populations qui ne possèdent pas les ressources pour négocier leur position. Une conscription obligatoire frappe les pauvres beaucoup plus durement que les riches parce que le riche peut interrompre sa carrière sans perte de capital, tandis que le jeune précaire perd un emploi, une formation, un accès au logement. c’est une taxe sur la jeunesse populaire.
Le modèle de société en question : discipline versus émancipation
Au-delà des chiffres et des mécanismes, c’est une vision du monde qui s’affirme ici. Celle qui répond à la question : “comment gouverner les jeunes précaires?” non par : “investissons dans l’éducation, réduisons l’inégalité, créons des opportunités” mais par :”encadrons-les, disciplinons-les, armons-les”.
Cette vision trouve son ancrage dans une certaine philosophie du pouvoir. Foucault l’a documentée : la prison, l’usine, l’école, l’armée partagent un modèle disciplinaire ou “le corps humain entre dans une machinerie de pouvoir qui le fouille, le désarticule et le recompose”[18]. l’armée n’est pas une exception ; elle est l’exemplar de cette discipline.
Lorsqu'un gouvernement choisit d’utiliser l’armée pour “former” les jeunes, il opte pour une logique de contrôle sur une logique d’émancipation.
Gramsci, penseur de l'hégémonie culturelle, montrait que le pouvoir s’exerce non seulement par la force, mais par le consentement produit par les institutions - écoles, médias, cultures. Lorsque l’Etat abandonne l’école publique tout en militarisant l’insertion, il procède à un déplacement d'hégémonie : il transfère le rôle de formation de la jeunesse d’une institution civile (l’école) à une institution militaire (l’armée)[24][25]. Ce n’est pas un détail administratif; c’est un changement de paradigme. L’école républicaine visait théoriquement à l'émancipation par la connaissance ; l’armée vise la cohésion par la discipline[26].
Bourdieu a montré que les institutions éducatives légitiment les inégalités en les naturalisant - en faisant croire que les hiérarchies sociales reflètent des différences naturelles de mérite[27]. L’insertion militaire opère inversement : elle ne légitime pas les inégalités, elle les contourne. Elle n’accorde pas à la jeunesse précaire l'accès aux ressources culturelles et au capital qui leur permettraient de concourir sur le marché du travail; elle lui offre un uniforme et l’accepte telle quelle. C’est un accord implicite : “tu renonces à être égale, et en échange tu as du travail”.
Investissement manqués, choix délibérés
Demandons-nous ce que l’on aurait pu faire avec les 2 milliards destinés au service militaire sur cinq ans. Avec ces ressources, on aurait pu réduire massivement la taille des classes en maternelle et primaire, mesures dont l’Indice d’Efficacité de la Dépense Publique montre qu’elle s’autofinance par ses effets - réduction du chômage, hausse des salaires, croissance fiscale[9]. Ou créer 50 0000 places d’internat d’excellence pour les jeunes de milieux précaires - dispositif dont l’efficacité pour transformer les trajectoires est documentée[9]. Ou généraliser la gratuité totale des cantines scolaires et des fournitures, ce qui affecterait directement les 50% des jeunes de 18-24 ans vivant sous le seuil de pauvreté[12].
Aucune de ces options n’a été retenue. Cela n’est pas un manque de moyens; c’est un choix politique. La France s’arme davantage chaque année, dépenserait potentiellement 100 milliards d’euros en défense en 2030, tandis que l’école rétrécit. Ce n’est pas une nécessité; c’est une priorité assignée par le gouvernement.
La post-vérité du service militaire : le “creuset” qu’on ne veut pas voir
Un argument revient régulièrement : le service militaire obligatoire historique, avant 1997, était un “creuset républicain” ou se rencontraient des jeunes de tous les milieux. C’est un mythe que la réalité a largement réfuté. Le Service militaire volontaire et le Service militaire adapté existant depuis 1961 et 2015 ciblent délibérément les jeunes sans qualification et en difficulté d’insertion[28][29].
Les observations ethnographiques au sein du CIRFA montrent des compositions très homogènes : la jeunesse blanche, dotée culturellement, n’envisage pas le métier militaire comme parcours prioritaire. Le service militaire volontaire attracte dès maintenant une jeunesse de structure sociale très étroite[11].
Quant au “brassage social” supposément réalisé par la conscription de 1960 à 1997, les données historiques le démentent: les cas d’indiscipline et de rébellion dans les années 80-90 coïncident fortement avec les tensions de classe[19]. Les jeunes issus de l’immigration connaissaient des taux de désertion trois fois plus élevés, ce qui n’est pas une faille du service militaire, mais l’expression d’un rejet légitime de l’ordre hiérarchique imposé. Un creuset fonctionne quand il produit une fusion; ici, il produisait du conflit qu’on dissimulait.
L’affirmation que le service militaire créerait de la “cohésion nationale” est une poste vérité au sens où l'essayiste américain Ralph KEYES le définit : une affirmation qui ne cherche pas à être vraie, mais à être effectivement efficace. Elle rassure celui qui la prononce en l'écoutant, indépendamment de sa validité empirique.
Conclusion : la bifurcation politique du moment
On se tient à une bifurcation politique. D’un côté, une proposition : investir massivement dans l’éducation publique, dans la réduction des inégalités, dans l’accès aux qualifications et à l'émancipation. Cela coûterait moins cher que les ambitions militaires actuelles, et produirait plus de bien commun. De l’autre, la proposition actualisée : encadrer la jeunesse par la discipline militaire, en abandonnant l’école publique à l'austérité.
La France engage le choix de la seconde voie. c’est un choix civilisationnel.
Il dit ceci : Nous acceptons les inégalités croissantes, nous acceptons l’appauvrissement de l’éducation publique, nous acceptons l’absence de perspectives pour la jeunesse populaire et en échange, nous les canalisons par la discipline. C’est l’ordre sans la justice.
La critique doit fonctionner sur deux niveaux. D’abord, documenter l’arnaque : montrer que ce service militaire ne créera pas d’emplois durables, n’ouvrira pas des perspectives, mais servira à discipliner une jeunesse qu’on a volontairement appauvrie. Deuxièmement, construire l’alternative : une exigence massive d’investissement éducatif, un plein emploi à temps réduit pour les jeunes, une réduction structurelle des inégalités; Non par utopie, mais parce que nous savons que cela fonctionne. Chaque pays qui l’a tenté à améliorer ses indicateurs sociaux et ses performances économiques.
Le service militaire volontaire est un moment révélateur. Il expose crûment le choix de gouvernement et de priorité opéré : militariser plutôt qu’éduquer, encadrer plutôt que émanciper.
A nous de nommer cela clairement et de proposer autre chose.
Références
[1] Initiative-communiste.fr. (2025, 3 septembre). L'École française, grande oubliée des choix budgétaires nationaux. https://www.initiative-communiste.fr/
[2] Senat.fr. (2024, 20 novembre). Projet de loi de finances pour 2025 : Enseignement scolaire. https://www.senat.fr/
[3] SNUIPP. (2023, 17 novembre). Budget 2025 : décryptages. https://47.snuipp.fr/
[4] Nomadeducation.fr. (2025, 12 septembre). Budget Éducation nationale 2025 : répartition et chiffres clés. https://www.nomadeducation.fr/
[5] Alternatives-economiques.fr. (2025, 18 novembre). Défense : le budget augmente, les défis stratégiques aussi. https://www.alternatives-economiques.fr/
[6] FIPECO. (2024, 11 décembre). Les dépenses militaires. https://www.fipeco.fr/
[7] IFRAP. (2025, 30 octobre). Il faudra 100 milliards d'euros pour être à 3% en défense en 2030. https://www.ifrap.org/
[8] Aktionnaire.com. (2025, 26 novembre). E. Macron a annoncé un projet de service militaire volontaire : mais ça coûte combien ? https://www.aktionnaire.com/
[9] CAE-Eco.fr. (2025, 13 mai). Éducation : comment mieux orienter la dépense publique. https://cae-eco.fr/
[10] TF1Info. (2025, 27 novembre). Service militaire volontaire : quels sont les critères pour candidater ? https://www.tf1info.fr/
[11] Erudit.org. (2015, 27 mai). Classes populaires et engagement militaire. Lien Social, 74. https://www.erudit.org/
[12] TF1Info. (2025, 15 septembre). Précarité alimentaire : près de 2 jeunes Français sur 3 se disent touchés. https://www.tf1info.fr/
[13] Secours Populaire. (2025, 7 octobre). Focus Ipsos/SPF 2025 : pour les jeunes Français, l'épreuve de la précarité. https://www.secourspopulaire.fr/
[14] Inégalités.fr. (2025, 27 mai). Le sur-chômage des quartiers prioritaires. https://www.inegalites.fr/
[15] LePoleS.org. (2024, 27 août). La situation des quartiers. https://lepoles.org/
[16] Observations-societe.fr. (s.d.). Quartiers prioritaires : les jeunes et les peu diplômés marqués par le chômage. https://www.observationsociete.fr/
[17] Lefigaro.fr. (2025, 26 novembre). Service militaire volontaire : l'armée n'a pas vocation à servir de cadre socio-éducatif. https://www.lefigaro.fr/
[18] Sciencespo.fr. (s.d.). De l'art du détail militaire à la gouvernementalité. Centre d'études européennes. https://www.sciencespo.fr/
[19] Lefigaro.fr. (1977, 25 octobre). Les grilles du temps : Entretien avec Morris Janowitz. Le Monde. Archivé. https://www.lemonde.fr/
[20] Bourdieu, P. (1970). La Reproduction : Éléments pour une théorie du système d'enseignement. Éditions de Minuit.
[21] Maire-info.com. (2025, 27 novembre). Emmanuel Macron enterre le SNU et veut rétablir un service militaire. https://www.maire-info.com/
[22] TF1Info. (2025, 26 novembre). Service militaire volontaire : qu'en pensent les Français ? Sondage IFOP. https://www.tf1info.fr/
[23] OPEX360. (2025, 5 mai). Instaurer un service militaire universel et obligatoire de six mois coûterait 14,5 milliards d'euros. https://www.opex360.com/
[24] Contretemps.eu. (2023, 4 juillet). La bataille des idées selon Gramsci. https://www.contretemps.eu/
[25] LVSL.fr. (2019, 12 juin). Gramsci : les relations internationales au prisme de l'hégémonie. https://lvsl.fr/
[26] Walzer, M. (2010, 25 mai). La finalité de l'éducation est de former des citoyens. Philomag. https://www.philomag.com/
[27] SES-ENS-Lyon.fr. (2022, 28 juin). Éducation, culture et domination dans la sociologie de Pierre Bourdieu. https://ses.ens-lyon.fr/
[28] Vocationservicepublic.fr. (2022, 21 juin). Le volontariat militaire, un dispositif pour les jeunes sans formation. https://vocationservicepublic.fr/
[29] Lefigaro.fr. (2025, 26 novembre). Service militaire volontaire, contrats courts, réserve opérationnelle : ces dispositifs qui existent. https://www.lefigaro.fr
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Alexandre Leforestier 1 hour ago
Dans ma PAL, pour sûr un sujet de tout premier plan où le débat public est indispensable.