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Quand La Dracène ouvre sa gueule.

Quand La Dracène ouvre sa gueule.

Published May 15, 2025 Updated May 15, 2025 Biography
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Quand La Dracène ouvre sa gueule.

Images : Pinterest.


Je ne m’attendais pas à nourrir une telle colère de feu !


J’avais vécu la peine d’avoir perdu quelqu’un qui était devenu mon intime. Mais c’est parce que je n'avais pas pris la mesure, celle à quel point tu m’avais menti ... tout ce temps !


Des dernières découvertes toutes fraîches ... et depuis, je réalise !


Que j'avais plus que raison : je n’ai été depuis le début que ce putain de faire-valoir.

Mais aussi, au début, qu'un camouflage. Un prétexte à pouvoir exposer, partager, ou justifier une réponse ouverte à celle que tu espères depuis tout ce temps ! Ça date de tellement loin ce procédé !


Je ne peux m'empêcher de penser à ce moment si crucial où tu m’as sauvée du désespoir, et que tu avais dit avoir provoqué pour moi. Je me doute surtout qu’il y avait urgence à captiver un autre auditoire ! Parce que je n'ai jamais fait partie de tes urgences ! Depuis février, c'est avéré ! Jamais !


Jusqu’à cette façon dégueulasse de t’emparer de la thématique de mon texte auquel je t'avais demandé de participer, que tu as jadis négligé, et où maintenant, tu en reprends l’idée pour en faire une nouvelle série pour ton infinie. Et je dois être reconnaissante ? Flattée ? Hein ?! Oui, tu me diras : " Y a d'autres artistes qui s’y sont collés, t'as rien inventé, Aline." N’empêche, on sait très bien tous les deux que cette idée t’es venue de mon texte. Ça me brise le coeur.


Et ces putains de deux, trois bribes poétisées sur/pour moi qui ne savent pas trop ce qu’elles font là, au milieu des bataillons de regrets pour Pépette : du semblant télescopé parce passant que du « et si j’essayais le registre amical" au " légèrement entreprenant", comment elle va-t-elle réagir ?, des directions qui brouillent tout depuis que je suis revenue. Putain, bien sûr que j'ai pris peur.Tu dis un truc mais fais un autre. Tu as été prêt à m'enfoncer pour ne pas admettre ce que j'avais besoin de m'assurer. Et tu ne manques pas de culot avec tes manoeuvres pour ménager "l'une retrouvée" si "l'autre tu perdais". Tu agis comme un manipulateur !




En début d'année, tu suggérais " T'inquiète, tu me laisses de glace " et puis, y a eu comme un début de " faut que je te dise ..." vite rattrapé par le sous-titre de toujours : "en fait, ça dépend si elle me répond ou pas ... "

Heu, l'idée, c'est quoi ? Que je reste à l'état de "faire-valoir" ? Ça fait du bien à l’égo une gourde qui croit depuis le début tes paroles d’un côté, et boit tes écrits de l’autre, c’est ça ? Que je sois une dévolue virtuelle ? Après tout, tu m'affiches symboliquement comme une espèce d'exhibitionniste du net, - pour peu que quelques photos trainent, y aurait peut-être même pas eu besoin de lancer un chiche, c'est ça ? ( Oh, que je te soupçonne de l'avoir fait à d'autres, et cela expliquerait mon autre pétage de plombs ! Chiche que tu me dois cette vérité-là ... ).

Je suis celle qui t'a offert sa constance critique. Oui, plein de cadeaux. Mais je ne quémandais pas. Je laissais s'échapper ce qui raisonnait avec évidence, c'est tout. Tu n'es ni mon gigolo et moi, pas ta catin. C'est comme ça que tu résumes nos années de lien : je suis écoeurée ?


Et en plus, tu m'as rejeté la faute d’être « entrée » dans ta vie. Mais s'il est vrai que j’ai toujours été dans les parages par choix esthétique et une sympathie de plus en plus ancrée, c’est toi qui t’es rapproché d’un seul coup, un automne.

Et si j’ai fini par te faire des confidences, toi, tu n’y étais pas obligé.

J’aurais préféré pas, si c’était pour au final me mentir à ce point en continu.

J’aurais préféré pas, parce qu’on ne se lance pas dans des confidences et rapprochements pour en définitif toujours mettre à distance la personne.

Si tu voulais pas qu’on devienne amis, pourquoi t’es pas tout simplement resté le même bonhomme qui ne me captait que quand ça l’intéressait ?





Tout ce temps, je suis restée vers toi parce que je te croyais honnête. Surtout que paradoxalement, cette confession inattendue, ça avait été la plus belle chose que j'ai lu de toi. J'avais aimé ta façon de te remettre en question sans avoir rien arrêté mais en cherchant une ligne de conduite qui faisait sens, avec lucidité. Je te trouvais digne et beau. Mais c’était du pipeau !!! C’était juste pour préserver tes cachotteries.


Alors oui, tu m’as donné de façon détournée ta version des choses de pourquoi ça continue, et patati et patata . Raconte-toi ce que tu veux. Je sais très bien que lorsqu’on a un plan B, on ne donne pas toutes les chances au plan A ( je ne parle pas de moi, l'autre A. ( oui, je sais son vrai prénom ... pfff ) ).


T’as beau te dire que ça reste immatériel : c’est. Tu te dis que c’est pas de la trahison. Si.


J’ai trahi de cette manière. C'était rien par rapport au boomerang que je me suis pris. Mais je me dois de l'admettre, j'ai participé à ça. Personne n'est innocent dans le choix de faire perdurer un lien secret.


[ Coup d'oeil à Mon Doux, s'il passe par-là.

Nous, ce n'est plus pareil. D'abord, j'ai un pied dans l'EPHAD ( t'as pas bien conscience du processus qui est en cours, je crois :-), toi, tes deux pieds sont dans un avenir radieux. Et puis, je suis catégorique : je poétise. Si tu aimes, j'en suis heureuse. Mais pas de regrets, pas d'espoir. On a chacun une vie à vivre, même si leur qualité et longueur sont carrément disparates aujourd'hui ...Et puis, comme tu l'as mise au courant que j'existais, j'espère qu'elle est aussi d'accord pour tes cadeaux doux. ... hein qu'elle est d'accord ?! ]




Tes raconteries à toi-même, donc, c'est pas mon problème. Mais en fait moi, je fais quoi là-dedans ? La voyeuse ? C’était quoi l’idée de me rajouter à l’équation ? L'oreille conciliante ? La cobaye ? La doublure ? Pour valider que c'est très beau votre histoire et ce que tu lui écris ? Que j’apprécie le tout par mes retours élogieux et directs, pour que tu te rendes compte de comment elle devait aimer de son côté ?

Parce que je n’oublie pas que tu m’as comparée de façon détestable à elle. ( Je n'ai rien contre elle. Elle est créative, charismatique, généreuse. Mais enfin, tu ne m'en voudras pas de ne pas vouloir vivre dans l'ombre d'une madone perspicace. Je vis déjà avec le fait d'avoir été remplacée par un modèle jeune, sans complexe et sans contraintes. )


... À se demander si tu ne t’es pas juste rapproché parce que tu avais soudainement capté mon identité visuelle. Par curiosité, donc ? Comme la possibilité d'un substitut intermittent éventuel ? Ou juste pour la provoquer, la rendre jalouse ?! Ou tu as cru au début que moi, c'était elle !!!!

Les questions ne manquent pas. Mais y aurait pas de réponses vraies en face, alors à quoi bon ...


T’as toujours affirmé à grands cris, - et jusqu’à très, très récemment : « Non, non, elle n’est plus dans ma vie. »


L’honnêteté, cela aurait été de dire « en face » ( ... même pas vocalement, hein, parce ça non plus, je n'y avais pas droit - putain quand je fais mon bilan de tarte à la nouille ... )

- surtout que je te répétais que ma santé mentale était fragile !!!

Et que je savais bien que je n’affabulais pas sur tout :


« Oui, je suis toujours en lien avec elle. Oui, tu as bien tout repéré et compris. Oui, je m’inspire parfois de toi pour combler quand elle est silencieuse et parce que tu sais plein de trucs de moi, que je sais plein de trucs de toi, que t'es conciliante, et que je me suis dit que ça te plairait parce que tu demandais un peu d'attention, etc .. . »


Mais cela demande du courage. Ou plutôt l’envie de mobiliser ce courage et t’en avais pas du tout envie. Parce qu'en réalité, t’en avais juste rien à foutre !




Ta dignité, ton image étaient plus importantes. ( c'est exactement ce que tu m'as dit : " ... que tu partes pas avec cette image de moi ! " T'as même pas songé à et demandé mon état émotionnel ! En gros : " Casse-toi d'accord mais sans m'en vouloir et garde mes livres." )


Importants - ta vie privée, tes petits secrets à préserver et tes élans créatifs, aussi ! Et elle, bien sûr !


Tout a toujours été plus important que moi ! Où as-tu vu du « respect » dans tes derniers comportements avec moi, putain !?


Mais la considération envers autrui, elle n'est pas dépendante d'une hiérarchie dans les rapports humains.

Ce n'est pas parce que je ne suis pas le centre de ton monde que je n'y ai pas droit ou qu'en dernière roue du char !

C'est le propre de chaque rapport humain !


Ose dire qu'avec ta façon d'agir, tu t'es assuré que je repartais sereine et en sécurité ? Putain, non !!!


C’est toi qui me disais que derrière le virtuel, y avait des êtres humains et qu’il fallait faire attention. Heu … Je suis quoi, moi alors ?! Une humaine mais catégorisée négligeable ? Accessoire ? Et utilisable ! ah ça oui ! Parce que c’est toi qui estimais, il y a plus d'un an : « De ce que tu me racontes, ces hommes t’ont utilisé », tu crois vraiment avoir fait mieux en n'étant pas foutu, ne serait-ce que de t'adresser à moi


comme à une personne individuelle


pour évoquer quelque chose approchant de la réalité que tu vivais ?!


Je ne dis pas que c'était facile. Ah bah, non. Une pelote de fil barbelé de mensonges, ça devient super délicat de savoir par où commencer à la dérouler . Mais c'est à ça qu'on voit le degré d'estime accordé à l'autre.

J'ai bien pris mon autoroute de bitume d'indifférence dans la tronche, merci bien !


Si tu ne voulais pas avoir à te justifier, fallait pas m'entraîner dans ces imbroglios !!! Si ça n'a pas marché comme tu voulais, ce n'est pas de ma faute !!! Mais tu ne peux pas ignorer que c'est toi qui m'a noyé de contradictions, putain ! Que ça m'a fait mal !

Y a suffisamment d'inconnues sur terre qui pourraient t'inspirer pour éviter ce genre de situation, putain !!!!


J’étais réellement en souffrance, et tu n’as jamais été prévenant, aucune attention RÉELLE pour demander comment j’allais, si je me relevais, si dans ma vie, je me récupérais et bien sûr, ... HA HA HA .... Oui, je ris ! Une blague, rien qu'à leurs évocations : aucune excuse. HA HA HA… Ces putains d’excuses qui demandent d’accepter qu’on aie fait du mal à l’autre. Mais toi, t’es irréprochable. Toi, t’as ton plan que tu suis. Les personnes en travers, dommage : dommages. C’est leur faute : "... avaient qu’à pas se trouver là". Pas la tienne, de faute. Non. Jamais. Le "je suis comme ça." La vache, imparable, celui-là.

Ben là, ça t'a grave fait perdre de ton sexy. Parce que c'était tes failles qui étaient belles. Pas le camion-toupie plein de béton, en sitting sauvage comme une brute mal dégrossie devant une construction d'allumettes aussitôt disposées-aussitôt dispersées-brisées pour pas être pris la main dans le sac !



Ces quelques compensations et explications littéraires hypocrites - ben oui, elles tombent de nulle part, comment veux-tu que je les interprète ? -, façon « tiens du su-sucre, ma poulette » ( dont je ne suis même pas sûre de déterminer réellement je suis à l'origine desquelles, tant je repère de dédicaces-clins d'oeil à elle. ), ça ne répare rien.


Sache pour ta gouverne, - même si tu ne t’ai jamais intéressé à mon univers ( bah, c’est clair que t’avais autre chose à fouiller, et comme en plus, je validais le truc docilement avec un "je comprends, je ne suis pas si intéressante", pourquoi te forcer, hein ? ) -, que je créé depuis longtemps afin de me réparer toute seule. Je ne t'ai pas attendu.


Les seules choses qui ont de la valeur à présent pour moi, ce sont les actions des êtres sur lesquels je peux compter en RÉEL. Même à distance, on peut être présent et vrai. Tu ne l'as plus été. ...et, du coup, comment ne pas envisager que tu ne l'as jamais été avant ? ...


De toute manière, c'est bien simple : soit tes un pervers, soit tu as été fuyant, maladroit et égoïste parce qu'immature émotionnellement. Cette dernière option, ça ne t'excuserait en rien : bouge tes fesse et grandis. C'est pas une fatalité mais une facilité si tu ne fais rien pour changer. C'est assez courant chez les 3 pattes que j'ai côtoyés.


Enrober ton attitude de joliesses, parce que tu as du talent à ça, que ça t'es facile et que cela te rapporte en plus les gratifications d'autres, ça n'explique et n'excuse rien !


Même si cela t'a permis, j'en suis bien certaine d'avoir ta conscience pour toi. Ah bah oui, ces messieurs ( je parle des quelques "miens" . ) pris sur le fait, conservent généralement - et c'est assez prodigieux d'ailleurs - leur conscience !

On ne doit pas avoir la même définition ... moi, elle me fait mal un mal de chien, ma conscience, quand je n'en ai pas pris soins ...


On fait dire ce qu’on veut aux mots. Et les tiens ont perdu leur éclat de sincérité, leur force d'âme, dès lors que tu m'as menti - j'avais l'impression que c'était les yeux dans les yeux tellement cela été implacable pour moi.


Mais enfin, relativisons, ce n’est justement qu’à mes yeux. Ça va. Surtout que L'iris, prunelle des tiens, est de retour.


Je suis bien sûr jalouse de votre connivence littéraire que vous avez entretenue sur la durée. Je vois du beau en l'émulation. Et qu'est-ce que c'est bon ! Moi, j'aurais rêvé d'être ta coéquipière de métier- à-tisser de la poésie, mais sur des bases saines, bordel ... pas sur des sous-entendus de postures et de posts qui m'ont fait démarrer au quart de tour parce que oui, j'avais fini par être en attente d'autre chose. Je t'ai dit pourquoi. Je me suis trompée. Je ne me sens pas fière de ce que je suis venue te raconter si ouvertement ... Mais je pense que tu as tout fait pour, en usant de stratagèmes et bidouilles pour Pépette, et c'est moi qui ait débarqué ... pas de pot !

Et puis, c'est comme si tu avais cherché à tester quel était encore ton pouvoir de séduction ... Et puis, la température prise, et face à mes nécessités de vérité soudaines : tayaut !


Par contre, je ne suis pas jalouse de ce que vous nourrissez avec cette connivence. Ça poisse. .

Y a des salissures belles - celles qui cherchent à dénoncer, se dépasser, à offrir plus grand que soit ...

Pas celles-là. Celles-là, elles ne vous grandissent pas. Parce qu'elles ne concernent que vous deux et que rien n'est réglé. Et que cela implique d'autres. Parce que l'impression d'un possible, ça donne l'impression de voler haut, loin mais c'est juste du fake. Et du temps perdu.


( Autre aparté à mon Doux. Désolée, mais petit rappel : toi, tu as ta vie remplie de toutes les premières fois annoncées et projets qui ne vont qu'aller de l'avant. Moi, j'ai tout, mais alors vraiment tout perdu pour des mots que plus personne ne lira. Dans cette balance catastrophique, ce qu'on a vécu et ton beau sourire ne sont pas consolants ... )


Du coup, c'est 50 balles, la séance, même et surtout pour ceux qui m'aimeraient pour de vrai.

Hou la, je sais, je suis bien partie pour finir pauvre !






En fait, je suis surtout supra en colère contre moi d’avoir perdu - encore une fois ! - des heures de pensées, d’attentions, d’émotions, de sentiment grandissant, et pour finir, de regrets pour quelqu’un qui m’a juste instrumentalisée dans une période opportune. D’avoir même encore été capable de regretter il n’y a pas si longtemps les connivences avec l’ami !!! C'est dingue les souvenirs qu'elles ont laissées, ces connivences. Parce que oui, c'était supra cool nos temps d'échanges. Je sentais des étincelles qui crépitaient. J'adorais ça.

Mais finalement, peut-être que je m'embrasais intellectuellement et plus, toute seule ...


T’es qu’un connard sans scrupules. Voilà. Rien de neuf sous le soleil. Ils pullulent.

Mais putain, j’aurais préféré que celui dans l’univers duquel je m’étais lovée, il y a si longtemps, avec spontanéité et sans qu'à l'époque il ne le devine ( je me souviens tellement bien de ces premières sensations de bonheur, de sourire, d'émerveillement ... même si je suis perdue sur le démarrage exact ... il y en a eu plusieurs. C'est comme si un groom était revenu plusieurs fois me foutre le plateau sous le nez : " T'éparpille pas ! C'est ça que t'aime ! " ), n’en soit pas un.


Je ne sais pas comment je vais redémarrer le créatif et où. J'ai l'impression d'être celle qui doit décider encore une fois si elle déménage après rupture ; ou qu'elle accepte que l'appart soit coupé en deux, quitte à devoir tolérer les parties de jambes en l'air de mon ex, à travers la cloison ... mais ne te sers plus sans permission.


NON.


Non : ne viens rien voler. Rien. Parce que ça n'a rien de romantique de faire comme ça. C'est ce qu'on apprend et montre dans les romances mais c'est absolument égoïste d'un côté, et dépossédant de soi, de l'autre.


Ça n'a rien d'écoute et d'échange. Rien d'un duo.


Je suis là. J'existe.

Tu ne peux pas savoir ce que je veux si tu ne me demandes pas.

Tu ne peux pas savoir comment je le vis, si tu ne le demandes pas.


Et, ça n'a rien non plus de ce fameux respect que tu m'as brandis comme ta botte secrète à l'absolution ... Non, je ne t'absolue pas. Quelles que soient tes raisons, tu n'as pas fais le nécessaire pour ça.


Si tu n'es pas capable d'être juste un homme mais un homme juste à mes côtés,

je me passerai aussi de l'écrivain.


Aline





https://youtu.be/XDRNluWAnGE?si=Gcg0WYbpZozJpa7z





J'espère que tu apprécies toutes les circonvolutions employées afin de t'éviter de te griller. C'est une contrainte d'écriture dont je me serais bien passée.

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