D'ailleurs sur cette route, je me sens pantin...
Tu ne peux plus consulter d’articles ce mois-ci sans être connecté.
Pour ne pas être limité et profiter pleinement de nouvelles fonctionnalités, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter
D'ailleurs sur cette route, je me sens pantin...
Nuit sans lune. Les étoiles partaient se coucher, nuages, et l’aube pointait son nez. Un matin ordinaire où l’Ogre gommait les lampadaires de l’architecte divin, ces étoiles épuisées par une nuit de veille disparaissaient sans un son, une nuit de veille comme nous les marins, les cirés usés par la mare aux reflets sanglants, pluie de bleus. Ce jour-là, cette nuit-là, un vent léger nous suivait, deux, trois Beaufort. Quelques nœuds pas coulants, une petite vitesse de notre flamboyant bateau, ce voilier animé par ce maigre vent qui nous permettait de respirer dans cette traversée hauturière, animée de coups de sang, et de lumière surgissant du fin fond de l’univers. Éclats de vers pour un humain poète, ou pour un perroquet Ara dans son coin de paradis. De larges couleurs envahissaient le
Tu ne peux plus consulter d’articles ce mois-ci sans être connecté.
Pour ne pas être limité et profiter pleinement de nouvelles fonctionnalités, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter