L'esquive
L'esquive
Ce fauteuil élimé
Et mes deux mains, posées
L’heure de traverser
L’esquisse d’un silence
A force de douter, on en oublie
L’esquive, et pourtant, apaisé
Quand le regard s’épuise,
Tout est là, tout se tait.
Ce fauteuil élimé
Et mes deux mains, posées
L’heure de traverser
L’esquisse d’un silence
A force de douter, on en oublie
L’esquive, et pourtant, apaisé
Quand le regard s’épuise,
Tout est là, tout se tait.
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