

À Ayden, petit homme...
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À Ayden, petit homme...
À Ayden, petit homme…
Comme un souffle discret
Tu es né, Ayden, promesse et secret
Dans le silence doux où s’endort l’univers
Tu as poussé ton cri dans un éclat de lumière
Te voici, petit-fils, enfant de deux mondes.
Tu portes dans ta peau cette teinte profonde
Cuivre d’un soleil mêlé de deux rivières
Couleur de l’amour, symbole d’une terre
Que cette peau fière, douce et éclatante
Soit ton étendard, humble et rayonnante
Tu es né du lien du brassage des âmes
Qu’il t’apporte une douce force sans drame
Je rêve pour toi d’un monde apaisé
Où l’homme tend la main au lieu de blesser
Où l’amour, le respect, la simple bienveillance
Sont les lois vivantes, les piliers de l’espérance
Sois l’artisan, petit cœur, d’un matin nouveau
Où tombent les armes, où


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Al De Leerey il y a 21 heures
Très beau... Un ange de plus descendu dans cet enfer ; espérons pour lui le meilleur.
Pascaln il y a 19 heures
C'est à quelque chose près, l'inspiration qui m'est venue pour ce poème à sa naissance...