Les liens se resserrent sur un mystère et boule de gomme du nom de "COVID19"; pas la peine de donner dans la poésie, même quand elle est libre, drôle et fine : "Quelle connerie la guerre" (saluons Le Petit Pavé, maison d'édition indépendante [c'est-à-dire qui ne fait pas de gros profits, qui travaille chichement et de coeur comme de raison] qui rappelle cette phrase de Prévert).

Trois médias, pas des masses fouteurs de la tronche des peuples ou des gens; trois repères dont les réflexions, pas que des infos mais bel et bien des réflexions, retiennent encore mon attention. 

1. Le Courrier des Stratèges (03-03-2022) met en évidence que ce sont les mêmes ficelles qui sont utilisées (mais alors jusqu'à la corde, ça finira par craquer ou lâcher) pour le conflit "ukrainien" - qui concerne officiellement c'est-à-dire selon une intention affichée la Russie l'envahisseur dont le reste du monde gouvernant (les covidiens) s'émeut - comme pour l'escroquerie du corona virus pandémique extra dangereux. Il titre, entre autres : "La guerre d'Ukraine est aussi une guerre de l'intox". Ce n'est pas la peine, non plus de commenter, c'est tellement vrai (et pathétique); observez, écoutez etc. Il titre aussi, de quoi s'arrêter cette fois et réfléchir :  "Agenda du chaos : sidérer les peuples par des chocs répétés". C'est très behavioriste cet agenda tactique, très comportementaliste, même pas transhumaniste mais très animaliste (à supposer que les animaux doivent eux aussi être maltraités (une souris en cage, un rat de labo.... ce n'est jamais pour leur faire du bien ... mais passons). Que dit l'article ? Il explique ce qu'est la théorie du CHOC, se référant à une journaliste canadienne, Naomi Klein, qui publia en 2007 The Shock Doctrine : The Rise of Disaster Capitalism. La source, ce de quoi s'autorise cette horreur politique, c'est l'école de Chicago (école monétariste de Milton Friedman) qui a favorisé l'organisation artificielle de chocs pour faciliter l'adoption de réformes structurelles (en gros, on vous trape sur le système