Trois pages manquantes
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Trois pages manquantes
Je n’ai rien vu venir. La lecture s’arrête brusquement. A trois pages du dénouement, un lecteur sans scrupule a arraché la conclusion de ce polar. Il arrive qu’on ait compris dès le premier tiers du livre qui a tué la victime, mais présentement l’écriture ciselée de Gustvasen est ponctuée de dizaines de rebondissements qui laisse l’intrigue haletante. Comment un lecteur peut-il se comporter de la sorte ? 211 pages de suspense laissent place à cet acte de barberie. Je ne comprends pas la logique sinon faire du mal à l’objet et à l’âme. Lire n’a rien d’anodin. Un lecteur donne de sa personne, octroie des heures dans son planning afin de s’immiscer dans la peau des personnages qu’il imagine et dessine mentalement. Des images mentales qui se font de plus en plus précises au fur et à mesure de
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