

BLANCO
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BLANCO
Blancheur épaisse et étalée.
Derrière, l’horizon abstrait, simple virginité
Il y a le souffle, celui qui déshabille, le souffle frais.
Un voile s’oublie sur la brise et se laisse baller.
Nu tel un bloc de glace, Nu tu es.
Frêle, tu fonds ton coeur d’enfant pour d’autres miracles, allures sculpturales qui t’éloignent de moi.
Ouvre-la cette chimère à poils longs.
Entre dans les sanglantes intériorités.
Lis ! Lis ! Lis ! Le mythe de ta perdition.
Cueille le avant qu’il ne te brise !
Le sacrifice est Humain et ta chair est mon cercueil.
Ainsi je m’étale, blanche de trop aimer,
Cadavre luminescent dans l’épaisseur fongeuse de l’obscurité.
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