Sincèrement désolé, je n'avais pas vu que j'avais écrit 2 textes (qui se chevauchent) sur BOIRE. Puisque c'est fait.....

°0°0°

Quand trop boire devient une déclinaison "d'a bu"

Paradoxale anagramme d'OBEIR, nul ne refuse de BOIRE quand on l'invite à telle envie. Mais en contrepartie à trop lever le verre, celle-ci se paye en présentant une addiction (note totale de vins sur vins) qu'il peut être difficile de régler. Quand il y'a d'l'a bu ; parmi les effets seconds ; le besoin de boire poussé à l'extrême, ne fait pas que des ans vieux !

Une situation "eu bu est-ce-que ?" problématique, quand le fait de boire ne connait pas de mots des rations...

1. Anonyme : Quand les parents boivent, les enfants trinquent
2. Carlos : A vaincre sans barils, on triomphe sans boire
3. Carmet : Boire ou conduire il faut choisir, mais on ne va tout de même pas rentrer à pied
4. Courteline : Mieux vaut boire trop d'un bon vin, que peu d'un mauvais
5. Ducosson : Mieux vaut un verre plaint qu'une bouteille vide
6. Pagnol : Quand le vin est tiré, il faut le boire. Surtout s'il est bon
7. Pline : L'homme doit au vin d'être le seul animal à boire sans soif

Photo de Pixabay