

Mafia vs CIA (about a reading : on Arrogance).Who is the real target ? And, Who is guilty ?
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Mafia vs CIA (about a reading : on Arrogance).Who is the real target ? And, Who is guilty ?
Donald Trump va devoir aller à la barre, eh oui (pas à la barre fixe, le musée du muscle, ras le bonbon); parce que LA JUSTICE IMPORTE et que nul n'est au-dessus de la loi. Julian Assange, figure antithétique (contre-figure politique), lui, va-t-il échapper à une extradition injuste ? CORRUPTION/ ANTI-CORRUPTION : avocasserie de cartels (chicane et compromission, mépris de la Constitution avec ses Amendements), engagement journalistique (valeurs déontologiques d'un vivre-ensemble ou citoyenneté démocratique). L'affaire des DOSSIERS [dé]classifiés et dérobés par l'ex locataire de la Maison Blanche, ceux (ces dossiers ultra confidentiels pour certains d'entre eux) que le FBI est allé chercher en Floride au domicile trumpien (encore qu'il reste d'autres dossiers, ailleurs, etc., mais pas question de s'en tirer ainsi), cette affaire pourrait, selon un certain éclairage ou une certaine explication (dépliement d'un questionnement préparé par des textes précédents), permettre de répondre à la seconde question (aussi importante que de savoir si Trump ne va pas couper au verdict démocratique, comptable du pire). Le fondateur de Wikileaks sait ce qu'est un RUSSIAGATE, sujet ultra-sensible quand on sait les poursuites contre Trump concernant ses relations avec la Russie ainsi que le dossier Steele qui a précisément trait à cette affaire. Et, en l'espèce), the Espionage Act est aisément opposable à Mr Never-more-President of United States of America (félon, séditieux etc.) alors qu'il ne l'est pas du tout (pas aisément du tout) au Prisonnier (n'a rien trahi) qui honore un métier autant qu'il incarne une humanité intelligente et digne.
Mais j'ai choisi, en attendant d'avoir plus d'éléments de réponse en me fiant entre autres aux rédactions américaines très critiques (cf MSNBC, PBS etc.), de commencer par une note de lecture ou un compte rendu concernant un livre qui offre le portrait saisissant d'un homme qui fut pour Donald Trump un modèle et par là qui offre un portrait (déjà) symptômatique de toutes les charges qui pèsent actuellement sur cet ancien Président américain dont on se demande comment il a pu être élu (il ne pouvait qu'être placé, par l'Ennemi si l'on peut dire avec lequel il a été en intelligence pour le dire ainsi) et on comprend alors mieux pourquoi cet homme d'affaires (troubles) a tellement cherché à truquer un scrutin pour accabler son adversaire Démocrate et crier au vol électoral (diffamer Biden, pas que lui d'ailleurs), à perpertuer aussi ce BIG LIE dont on parle tant (sans savoir de quoi il s'agit au juste). Ce livre, objet de cette note que je vais détailler, cerne l'un de ses AVOCATS : un baveux, terme argotique en français mais qui va avec le profil de cet homme américain, juif, antisémite, homosexuel (non assumé), magouilleur qui croyait au juge (sa cible, son pâte à modeler) et pas à la Justice (cette instance, cette institution; alors que la justice ne ploie pas par définition, drôle de conception de the rule of Law), un homme à l'Ego surdimensionné (qui ne doute de rien, d'un toupet sans nom, un absolu s
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