

Phantom of the Paradise (Brian de Palma, 1974)
Ohne Anmeldung kannst du diesen Monat keine Veröffentlichungen mehr lesen.
Um neue Funktionen in vollem Umfang zu nutzen, logge dich ein oder erstelle ein Konto, indem du unten klickst. Es ist kostenlos!
Einloggen
Phantom of the Paradise (Brian de Palma, 1974)
Il ne suffit pas d'accumuler, détourner ou parodier des références pour faire un bon film mais quand le cocktail est réussi comme dans le flamboyant et baroque "Phantom of the Paradise", il envoie du lourd. Le film est autant un énorme chaudron-hommage à toute une série d'œuvres d'art l'ayant précédée qu'une distanciation ironique et désespérée analysant l'impossibilité de créer en dehors du système: celui-ci vous broie ou vous récupère ou plutôt vous récupère ET vous broie. Brian De PALMA parlait alors en connaissance de cause car le studio qui l'employait avait pris le contrôle de son film précédent "Get to know your rabbit" (1970). Il a donc eu l'idée d'accommoder à la sauce opéra-rock le thème du pacte avec le diable, le prix à payer pour la perte de son intégrité artistique


Ohne Anmeldung kannst du diesen Monat keine Veröffentlichungen mehr lesen.
Um neue Funktionen in vollem Umfang zu nutzen, logge dich ein oder erstelle ein Konto, indem du unten klickst. Es ist kostenlos!
Einloggen