On a beaucoup parlé dans cette affaire, l'AFFAIRE COVID (le fameux narrative à somnambuler ou à marcher haggard ou shooté , les confinements et masques aidant), du Deep Etat, le concurrent de l'Etat de droit (l'ennemi de la Justice qui tente de corrompre les juges en les intimidant par exemple ou en décrédibilisant les magistrats), le par en dessous, the (D)evil in disguise, une figure viriliste qui oeuvre enrobée. Mais qu'est-ce au juste ? Comment le conceptualiser, le nommer déjà ? C'est l'Etat policier, larvé, celui qui balance du LSD (je n'invente rien, cela a été dit à propos de légende de la musique qui se sont fait prendre....) à respirer ou autre.... C'est évidemment l'ennemi de la liberté d'expression, du point de vue libre ou libéré de la PROPAGANDE qu'il fabrique ou sur laquelle il s'appuie. En ce moment, imaginez toutes les malversations possibles et imaginables.

Le Ministère de l'Intérieur (la France a un beau sujet-specimen, informez-vous des délits ou accusations etc.) n'est pas reluisant, ou sinon comme un ver (dans un fruit démocratique) quand ses méthodes avoisinent la calomnie, l'insulte et quand il sort, comme n'importe quel sujet ne devrait ni ne doit le faire, de son domaine ou de son territoire. Le COVID c'est ce qui a BON DOS, autre nom du MENSONGE ou de la DISSIMULATION-SECRET(S) : on sait que l'origine du virus n'est pas naturelle mais humaine donc relève d'une faute grave, gravissime. Avec le covid, ou plutôt depuis que le COVIDISME existe, que les covidiens (anti-kennedyens) existent, il n'y a plus (ça n'existe plus, c'est merveilleux Alice : oh you're so beautiful pret