Le bonheur ne perdure jamais.
Le bonheur ne perdure jamais.
Extrait du journal de Charles Baum
Le bonheur ne perdure jamais. C'est quelque chose que j'ai déjà appris il y a bien longtemps. Le mal arrive pour en sonner la fin de sa cloche d'or. Les roulements du tonnerre au-dehors éclairent mes remords qui font quelques révérences à mon coeur battant, et me suivent sur le plancher. Malgré la souffrance que je ressens, il y a toujours cet appel qui me ramène à elle. Une petite fille fragile et meurtrie, brodée de blanc, qui chante selon le vent et s'annonce dans un soupir caressant mes maux.
Mais elle n'est plus une enfant depuis longtemps. Je suis forcé de reconnaître que la femme que j'admirais - et que j'admire toujours en mon for intérieur - a une aisance parfaite pour le mensonge et la dissimulation. Non, elle les incarne. Ses grands yeux
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Alexandre Leforestier vor einem Jahr
Très très belle écriture. Rythme, rebond. Phrasé. Comme en 🎶🎶
Striyga.b vor einem Jahr
Merci beaucoup