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Poésie
Dialogue entre les facettes

Dialogue entre les facettes

Veröffentlicht am 14, Juli, 2025 Aktualisiert am 14, Juli, 2025 Wohlbefinden
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Dialogue entre les facettes

- Je sais pas trop à qui parler alors me revoilà face à toi Petit frère.

Ces derniers temps ça va pas. Je perd le goût de tout ce que j'aime je suis au millieu d’un océan ou je me nois


J'ai sans cesse des flash-back et des pensée automatique qui vienne me hante, comme pour venir m’écrasé. Je suis triste et le noir vient me cerner.

Mais je ne parle pas je n'y arrive pas. A qui dire ces mots sans troubler ou blessé.


Et moi j'ai ses yeux noir me Brûlant comme un souvenir glaçant. Je n'y arrive pas. Je ne comprend pas. Pourquoi...

Pourquoi je n'arrive à rien. Pourquoi je ne rentre dans aucun cercle...

Pourquoi j'ai l'impression que ma place est nulle part

Que je n'ai pas le droit de lever le regard. J'en peux plus. Je veux relâcher ce monstre qui me broie l'estomac. Je ne veux plus courrir. Je veux pleurer. Je suis bloquer dans ses pensée dans les yeux ardent d'un monstre qui m'a brise. Pourquoi à til fallu que je le vois. Pourquoi.

Aïs je laisse paraître la moindre chose.

Je ne veux pas. Je suis pas un jouet. Je suis vivante.

Merde vivante.

Mais à quoi bon hein.

Des flash toute la journée

Des larmes qui ne veulent pas couler

Et moi déprimé au milieux d'un ruisseau

Sans eau

Ou les pierre attendent

Mais se mepreine

Il n’y aura plus d'étincelle

Plus de tintillement

Moi qui suis pleine d'espoir

Ou c'est il enfui

Je le cherche

Je cherche

Ma persévérance

Mes pas de danse

Mais rien

Pas une trace

Pas une chance

Aide moi

Qui suis je

A part cette fille souriante

Quand son cœur s'efface

Quand elle se lève

Et tombe sans se relever

Que qui je merde.

Mériterais je un jour

De me tenir debout

Prônant la force d'avoir vu le bout

D'un tunnel qui ne finit jamais

D'avoir souffler quelque mots sur les récif de mes plaies.

Non mais ou vais. Le regard me suis.

Pesant oppressant et surtout plein deffroyable instant.

Fuie me crie ma tête.

Mais est ce possible de se fuir soit même.

Non.

L'impossible.

Je resterais un fantôme.



- Tu ne rentres dans aucun cercle car c’est un cœur resplendissant qu’il te faut, et aucun cercle ne serait capable de le contenir

Quand notre place est nulle part c’est que l’on a notre place partout, car partout tu peux t’intégrer et t’affirmer auprès des gens que tu aimes

Pourquoi lever le regard quand le monde est à tes pieds, et même si les étoiles se dressent au dessus de toi, tu en as autant dans la prunelle de tes yeux

Si tu ne veux plus courir, marche, si tu ne veux plus marcher, arrête toi et quand tu l’auras fait regarde autour de toi, les gens qui sont là pour toi, regarde derrière toi, tout le chemin que tu as parcourue

Si tu veux pleurer, fonds en larmes car chacune d’elle est une ode à ce que tu étais et à la force qui t’accompagne désormais

Tu étais brisée mais chaque jour tu te répares un peu plus, et bientôt tout cela sera derrière toi

Tu le vois parce que tu es attentive à tout, et même si tu penses qu’il remplit ton champs de vision, tu es celle qui regarde les gens autour de toi et voit leur beauté intérieure leur amour pour toi et tourne ton regard vers eux vers leurs émotions et leurs résolutions

Tu as laissé paraître le bonheur et l’amour qui t’emplît désormais et en faisant ça tu les assumes pleinement

Tu n’es pas un jouet et tu te rendras un jour compte d’à quel point tu te joue du monde

Tu es vivante aujourd’hui demain toujours


Des flash d’obscurité qui t’aveuglent et rendent le jour trop brillant, mais il l’est le jour est brillant, lumineux et bienveillant

Un ruisseau d’émotion qui ne se tarit jamais où les pierres précieuses sont les éclats iridescent de chaque accomplissement

Plus d’étincelles, une lumière éblouissante, plus de tintillement mais une chanson mélodieuse qui résonne


Un espoir qui te remplit tellement parfaitement que tu n’arrives plus à le voir, un espoir qui ne peut finir quand on est là pour le reremplir

Persévérance qui te définit et qui t’accompagnera toujours

Des pas de danse que tu effectue encore et encore malgré les regards autour de toi pour te prouver à toi à eux que tu n’es pas brisé, que tu peux encore t’amuser que tu peux encore rêver même si le regard t’écrase

Des traces qui se déssinent car elles écrivent encore et encore tes pensées sur des pages, pages blanches qui prennent forme et où tout restent à imaginer

Pas une chance mais un milliard

À part cette fille souriant, cette fille qui est capable de rire quand cela ne va pas, qui est capable de s’ouvrir aux gens mais quand elle est au plus bas afin de combler leurs creux même si les siens ne sont encore refermés

Quand son cœur s’efface, ses mots reste et sa force grandit

Quand elle se lève et qu’elle retombe, elle reste un moment allonger avant de refaire une tentative et si elle ne se relève pas, elle se s’aide de ses mains, à quatre pattes puis de ses genoux et attrape alors la main tendue

Car dans ce monde déchiré et corrompu, elle seule mérite vraiment de tenir debout car ses accomplissement dépasse l’entendement et personne ne lui arrive vraiment à la cheville

Un tunnel qui ne finit jamais mais qui n’est pas que sombre et effrayant, un tunnel qui passe par toutes les couleurs tous les états aussi magnifique que décourageant aussi avantageux que déprimant

Quelques mots sur les récifs des plaies comme un point de suture, qui seul ne vaut pas grand chose mais qui mit bout à bout forme un pont de rimes au dessus du vide

Un regard qui te suit, oppressant, des dizaines de regards qui t’admirent, aimant, plein de milliers d’instant bénis

Fuis te crie ta tête, pleure te crie ton corps, vie te cris ton coeur

Impossible de se fuir soit même alors accepte toi et regarde ta beauté, admire là comme nous le faisons au quotidien

Tu resteras le fantôme de celle que tu étais, mais tu n’es plus un fantôme tu es quelqu’en d’autre qui va vivre car elle le mérite


Le flou autour de toi, comme un brouillard qui t’empêche de voir le chemin devant toi, pourtant la main qui tient la tienne est tangible et rassurante, tu ne la vois pas mais tu la sens alors laisse toi entraîner

Un bruit assourdissant qui ne veux pas s’en aller car il faut désormais l’apprivoiser, car une fois à toi il éclatera vers ceux qui t’ont fait mal

Le vent qui hurle pendant que tu penses tomber, mais tu ne tombes pas, tu voles.

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