

Oshun
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Oshun
Les eaux fraîches et sibyllines assourdissent les ombres de la forêt.
Comme aux temps les cœurs se purifient dans le silence de la surnage.
D’Oshun le pâle coulis sautille, près du silencieux rivage de la sylvestre rivière, aux cascades blanches et haranguées par le mythe –la fraîcheur du mythe renouvelée, l’animisme sous l’eau, la peau aquatique, par les sources et les âges et plongés par les pierres.
Je suis un fils de la Rivière
Silence. Ne reste plus que le balancement, l’esprit d’Oshum, la rivière qui court comme un bonheur et croît.
Au passage, j’ai ri plus frais que la montagne. J’avais l’œil fou du bonheur au centre de la bouche.
Puis, je n’étais plus qu’un écho parmi l’écorce des roches, une néanderthalité qui dérive, qu’un Homme, qu’une idée,une conscience moléculaire.
Silence
Je suis un fils de la Rivière

