

Cinq matins de trop
Non puoi leggere altre pubblicazioni questo mese senza aver effettuato il login.
Per sfruttare appieno le nuove funzionalità, accedi o crea un account facendo clic qui sotto: è gratis!
Accedi
Cinq matins de trop
De Kenneth Cook, j’avais lu deux recueils de nouvelles, Le Koala tueur et La Vengeance du Wombat, qui sont remplies de petites histoires tirées de faits réels et pleines d’humour. Son roman principal, Cinq matins de trop, est pour sa part à l’opposé de tout cela. Même si on retrouve des traces d’humour il est noir, dans ce roman le rire est jaune et cruel. Rien à voir donc avec les pitreries des recueils de nouvelles. Ici on parle de déchéance, de descente aux enfers, de fatalité.
L’histoire démarre à Tiboonda en plein désert australien. Tiboonda c’est simple, c’est le trou du cul du monde mais en pire. Il n’y a rien d’intéressant. Personne d’intéressant. Rien à faire. Et une putain de chaleur qui ne vous lâche jamais la grappe. Les deux occupations principales sont : survivre et


Non puoi leggere altre pubblicazioni questo mese senza aver effettuato il login.
Per sfruttare appieno le nuove funzionalità, accedi o crea un account facendo clic qui sotto: è gratis!
Accedi