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La France Insoumise : un parti politique à abattre pour l'oligarchie française

La France Insoumise : un parti politique à abattre pour l'oligarchie française

Publicado el 21, oct, 2025 Actualizado 21, oct, 2025 Política
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La France Insoumise : un parti politique à abattre pour l'oligarchie française

La diabolisation systématique de La France Insoumise par l'appareil médiatico-politique français n'est pas le fruit du hasard. Elle constitue une stratégie délibérée de l'oligarchie capitaliste pour neutraliser la principale force politique qui menace frontalement ses intérêts économiques. Derrière les campagnes de dénigrement orchestrées se cache une guerre de classe menée par ceux qui possèdent les moyens de production et de communication contre un projet politique qui propose une alternative réelle au néolibéralisme.



Les médias français : propriété du capital et instruments de l'hégémonie culturelle


Les médias français : propriété du capital et instruments de l'hégémonie culturelle. Vincent Bolloré (Canal+, CNews, C8, Europe 1), Bernard Arnault (Les Échos, Le Parisien, Challenges), Patrick Drahi (BFMTV, RMC, L'Express, Libération), Xavier Niel (Le Monde, Télérama, L'Obs), la famille Dassault (Le Figaro), François Pinault (Le Point), Martin Bouygues (TF1, LCI, TMC) et Arnaud Lagardère (Paris Match, JDD) possèdent l'essentiel du paysage médiatique français. Cette concentration inédite des médias entre les mains de l'oligarchie financière représente un danger mortel pour le pluralisme et la démocratie.


Ces propriétaires de médias ne sont pas de simples investisseurs désintéressés. Ils sont les représentants du grand capital, ceux-là mêmes dont les intérêts seraient directement menacés par l'application du programme du Nouveau Front Populaire : augmentation du SMIC, taxation des superprofits, rétablissement de l'ISF renforcé, fin des niches fiscales pour les plus riches, contrôle démocratique des investissements bancaires.

Il suffirait de taxer le patrimoine de 500 personnes à hauteur de 12 % pour financer l'intégralité du programme du NFP.


Cette réalité matérielle explique pourquoi les médias dominants mènent une campagne d'acharnement sans précédent contre LFI. Comme l'analyse Antonio Gramsci dans ses Cahiers de prison, les médias constituent un appareil d'hégémonie culturelle au service des classes dominantes. Ils ne se contentent pas d'informer : ils produisent le consentement des masses à l'ordre social existant, diffusent les valeurs et la vision du monde de la bourgeoisie, et disqualifient toute alternative politique qui menacerait les rapports de domination capitalistes


La diabolisation : une stratégie médiatique systématique


L'observatoire Acrimed a documenté cette campagne de diabolisation : près de 90 % des unes consacrées à LFI sont parues après janvier 2022, et plus de la moitié après octobre 2023. L'association note qu'aucun autre parti dans le champ politique français ne subit une stigmatisation comparable. Le quotidien Le Monde a mené sa propre campagne avec une série intitulée « Radicaliser » visant à présenter LFI comme un parti « extrémisé » et « suscitant un très fort rejet ».

Les exemples d'acharnement sont innombrables. CNews a osé poser la question : « LFI : le nazisme est-il passé à l'extrême gauche ? ». Sur BFM TV, Alain Jakubowicz a comparé Jean-Luc La France Insoumise : un parti politique à abattre pour l'oligarchie française Les médias français : propriété du capital et instruments de l'hégémonie culturelle La diabolisation : une stratégie médiatique systématique Mélenchon à Goebbels, le propagandiste nazi, sans qu'aucun journaliste sur le plateau ne le conteste. Ces comparaisons infâmes visent à rendre LFI absolument infréquentable dans le débat public et à décourager les électeurs de voter pour ce parti.


Cette violence médiatique s'accompagne d'un traitement radicalement différent selon les forces politiques. Alors que le Rassemblement National bénéficie d'une normalisation médiatique constante, avec des invitations complaisantes dans des émissions de divertissement et l'abandon progressif du qualificatif « extrême droite », LFI est systématiquement présentée comme une menace pour la République. Cette stratégie du « deux poids, deux mesures » révèle la fonction politique réelle des médias dominants : défendre l'ordre capitaliste en normalisant l'extrême droite tout en diabolisant la gauche de rupture.



La complicité active des journalistes

Cette campagne ne pourrait pas fonctionner sans la complicité d'une partie significative des journalistes. Comme le note Le Monde Diplomatique, « la plupart des colporteurs de rumeurs savent que Mélenchon n'est pas antisémite et l'admettent même parfois. Nous assistons à un cas exceptionnel de fausses nouvelles sponsorisées par l'État, propagées par réflexe par des journalistes qui n'y croient pas, mais qui connaissent et partagent l'objectif politique qui les sous-tend ».

Les journalistes des médias dominants, intégrés à l'appareil idéologique de la bourgeoisie, reprennent

sans vérification les accusations lancées contre LFI. Ils participent activement à la construction d'un

cadrage médiatique hostile, où chaque déclaration d'un élu insoumis est scrutée, déformée, sortie de

contexte pour alimenter la machine à scandale. Cette pratique journalistique au service de l'ordre établi contraste violemment avec la complaisance dont bénéficient les représentants du capital et de l'extrême droite.

Ces organisations juives progressistes affirment clairement : « Il est incontestable que certains acteurs usent de l'accusation d'antisémitisme pour intimider et salir leurs adversaires politiques ». La position de LFI en faveur des droits des Palestiniens et du respect du droit international est délibérément amalgamée à de la haine des Juifs pour disqualifier politiquement le mouvement.



L'affaire Carlos Martens Bilongo : scandale d'État et ingérence étrangère

L'affaire Carlos Martens Bilongo illustre jusqu'où peut aller cette machine à détruire. Le député insoumis a été victime d'une « cabale orchestrée par les services de Tracfin, à la demande des Émirats arabes unis ». Le 11 mai 2023, jour de la sortie de son ouvrage « Noir Français », une « information » selon laquelle il ferait l'objet d'une enquête pour blanchiment, fraude fiscale et abus de biens sociaux pour 200 000 euros parvient opportunément à la presse.


BFM TV diffuse ces accusations, reprises sans vérification par de nombreux médias, entraînant une violente campagne de dénigrement et un cyberharcèlement massif. Deux ans plus tard, le parquet de Nanterre classe le dossier sans suite, reconnaissant l'absence d'infraction. L'enquête du média L'Informé révèle que cette attaque avait pour seul fondement les critiques du député à l'encontre des Émirats arabes unis, premier acheteur d'armes auprès de la France.


Cette affaire démontre comment les services de renseignement français se sont mis au service d'une puissance étrangère pour détruire un parlementaire. La note de Tracfin était « truffée d'erreurs grossières », transmise à la justice sans base légale, et des hauts responsables de Tracfin se sont déplacés à Dubaï dans des conditions suspectes. Le gouvernement refuse toujours de rendre des comptes sur ce qui constitue un véritable scandale d'État.



Les affaires montées de toutes pièces


Le député Thomas Portes a lui aussi été victime de multiples accusations. Il a été renvoyé en correctionnelle pour avoir qualifié un collectif de « groupuscule violent et raciste », poursuivi pour avoir relayé par erreur des informations sur un jeune Lyonnais faussement accusé d'être un criminel de guerre israélien, et fait l'objet de plaintes du RN pour « apologie du terrorisme ». Ces procédures judiciaires à répétition visent à intimider, épuiser et discréditer les élus insoumis.



Les conséquences mortelles : menaces, harcèlement et violence


Cette campagne de dénigrement a des conséquences concrètes et dramatiques. LFI dénonce une multiplication des menaces de mort, du harcèlement téléphonique et des agressions physiques contre ses élus et militants. Mathilde Panot avait révélé en octobre 2023 que trois députés étaient sous « raid téléphonique », qu'un élu avait vu sa famille directement menacée de mort, et qu'au moins quinze parlementaires recevaient des menaces de mort.

Le député Sébastien Delogu a reçu une lettre de menaces de mort contre lui, Jean-Luc Mélenchon et Mathilde Panot, signée par le « Comité 732 », accompagnée d'une balle. L'écrivain franco-israélien Marco Koskas a publié dans Tribune juive des menaces de mort explicites contre les députés Eric Coquerel et Ersilia Soudais.

En 2021, un individu d'extrême droite avait été condamné à 9 ans de prison ferme pour avoir projeté des attentats contre Jean-Luc Mélenchon et d'autres responsables politiques.


LFI dénonce avec raison que « les menaces reçues sont directement liées à la campagne de diffamation menée depuis plusieurs jours par nos adversaires politiques ». La violence médiatique se transforme en violence physique, mettant en danger la vie des élus et la démocratie elle-même.


Un programme réformiste présenté comme révolutionnaire


Le paradoxe de cette diabolisation réside dans le fait que le programme du Nouveau Front Populaire n'a rien de révolutionnaire. Comme l'analysent de nombreux économistes et politologues, il s'agit d'un programme réformiste d'inspiration keynésienne, qui ne remet pas en cause les fondements du capitalisme.

Le NFP ne propose ni l'abolition de la propriété privée des moyens de production, ni la socialisation des banques, ni l'abolition du salariat. Il ne parle pas de « salaire à vie », de « dotation inconditionnelle d'autonomie », de « seuil maximum de richesse », de « salaire maximum », ou de « garantie de l'emploi ». Dany Lang résume : « c'est un programme de rupture avec la politique de Macron, mais ce n'est pas un programme de rupture avec le capitalisme »


Les mesures concrètes du NFP sont largement inspirées de dispositifs déjà existants : augmentation du SMIC de 1400 à 1600 euros nets, abrogation de la réforme des retraites pour revenir progressivement à 60 ans, blocage des prix des biens de première nécessité, hausse de 10% du point d'indice des fonctionnaires, gratuité intégrale de l'école publique, revalorisation des APL de 10%, rétablissement de l'ISF. Ces mesures sont ambitieuses mais nullement révolutionnaires : elles visent à restaurer des droits sociaux qui existaient avant les contreréformes néolibérales.


Le programme table même sur une relance de la croissance économique (3% en 2025 et 2026 selon Valérie Rabault. Ce qui est aux antipodes d'une critique radicale du productivisme capitaliste. Il s'agit d'une politique keynésienne classique de soutien à la demande et de redistribution, parfaitement compatible avec le cadre capitaliste. C'est précisément ce caractère réaliste et applicable qui explique pourquoi le programme est si violemment attaqué : il pourrait effectivement être mis en œuvre et améliorer concrètement les conditions de vie des classes populaires.



Pourquoi diaboliser LFI ? À qui cela profite-t-il ?


La réponse est évidente : la diabolisation de LFI sert les intérêts de l'oligarchie capitaliste française. Même si le programme du NFP ne menace pas l'existence du capitalisme, il menace directement les privilèges et les profits de la classe dominante.


Augmenter le SMIC de 200 euros, c'est réduire la part des profits distribués aux actionnaires. Taxer les superprofits et les hauts patrimoines, c'est ponctionner l'accumulation privée du capital. Rétablir l'ISF, c'est demander une contribution fiscale à ceux qui s'enrichissent sans limites. Bloquer les prix de l'énergie, c'est limiter la rente des grands groupes énergétiques. Investir massivement dans les services publics, c'est sortir des secteurs entiers de la logique marchande.


Pour l'oligarchie financière, permettre à LFI d'accéder au pouvoir présenterait un double danger. D'abord, cela améliorerait réellement les conditions de vie des classes populaires, ce qui réduirait mécaniquement l'exploitation et les profits. Ensuite, cela démontrerait qu'une autre politique est possible, que le néolibéralisme n'est pas une fatalité, et que l'État peut agir pour réguler le capital au profit du plus grand nombre.


Cette prise de conscience collective constituerait une menace bien plus grande que les mesures elles-mêmes : elle pourrait ouvrir la voie à des revendications plus radicales et remettre en cause Un programme réformiste présenté comme révolutionnaire Pourquoi diaboliser LFI ? À qui cela profite-t-il ? l'hégémonie idéologique du capitalisme néolibéral. C'est pourquoi il faut à tout prix empêcher LFI d'arriver au pouvoir, et pour cela, la détruire symboliquement dans l'espace public en la rendant infréquentable.



La bataille de l'hégémonie culturelle


Comme l'analysait Gramsci, la domination de la bourgeoisie ne repose pas uniquement sur la coercition, mais sur le consentement. Ce consentement est produit par les « appareils d'hégémonie », dont les médias constituent l'instrument central. En contrôlant le discours public, en définissant ce qui est « acceptable » et ce qui est « extrême », en désignant qui mérite le respect et qui doit être ostracisé, les médias dominants fabriquent le consentement des masses à l'ordre social existant.


La diabolisation de LFI s'inscrit pleinement dans cette bataille hégémonique. Il s'agit de délégitimer toute alternative au néolibéralisme en la présentant comme dangereuse, irresponsable, voire totalitaire. Parallèlement, les médias normalisent l'extrême droite, qui ne menace pas fondamentalement les intérêts du capital mais peut au contraire servir de rempart contre les revendications sociales et syndicales.


Cette stratégie explique pourquoi Emmanuel Macron et le camp présidentiel n'hésitent pas à mettre sur le même plan le NFP et le Rassemblement National, parlant « d'alliances contre-nature aux deux extrêmes ». En renvoyant dos-à-dos la gauche sociale et l'extrême droite, le camp macroniste se présente comme le seul « camp de la raison » et le seul « légitime pour exercer le pouvoir »En renvoyant dos-à-dos la gauche sociale et l'extrême droite, le camp macroniste se présente comme le seul « camp de la raison » et le seul « légitime pour exercer le pouvoir ». Cette opération idéologique vise à neutraliser la principale menace pour l'oligarchie : une gauche de transformation sociale capable de gouverner.



Conclusion : une guerre de classe menée par le haut


La diabolisation systématique de La France Insoumise n'est pas un dysfonctionnement médiatique, c'est une guerre de classe menée par l'oligarchie capitaliste contre la principale force politique qui menace ses intérêts. Cette guerre mobilise tous les moyens disponibles : la propriété concentrée des médias, la complicité des journalistes intégrés à l'appareil idéologique dominant, les fausses accusations relayées sans vérification, l'instrumentalisation des services de renseignement, et la tolérance face aux menaces de mort contre les élus insoumis.


Le scandale d'État de l'affaire Carlos Martens Bilongo révèle jusqu'où peut aller cette machine à détruire : les services de l'État français se mettent au service de puissances étrangères pour salir un parlementaire qui défend le droit international. . Les cent intellectuels qui ont signé l'appel « Stop au bashing de la France insoumise » avaient raison d'affirmer : « Ce qui est réellement en cause, ce ne sont pas un caractère, des rivalités boutiquières, ni même une personne, mais la ligne politique qui l'emportera à gauche ».


Face à cette offensive, il est urgent de dénoncer les mécanismes de l'hégémonie culturelle, de révéler qui possède les médias et quels intérêts ils défendent, et de construire des médias autonomes au service de l'émancipation populaire. Car tant que neuf milliardaires contrôleront 90% des médias français, la bataille démocratique restera profondément inégale, et toute force politique menaçant les privilèges du capital sera systématiquement diabolisée.




Sources:

Acrimed - "Ce que nous dit l'acharnement médiatique contre LFI" (14 octobre 2025)

Antoine Léaument - "Pourquoi les médias diabolisent Mélenchon" (9 mai 2025)

Mediapart - "Diabolisation de LFI dans les médias : la faute à qui ?" (30 juin 2025)

Acrimed - "Radicaliser : retour sur la campagne du Monde contre LFI" (12 octobre 2025)

Mediapart - "Malgré sa diabolisation, La France insoumise maintient sa stratégie du conflit" (25 juin 2025)

L'Insoumission - "Mensonges des médias sur la position internationale de LFI" (8 mars 2025)

YouTube - "Pourquoi les médias diabolisent Mélenchon ?" (9 mai 2025)

Politis - "Stop au bashing de la France insoumise" (27 juin 2024)

Politis - "Macronie : l'extrême diabolisation de la gauche" (24 juin 2024)

LCP - "La France insoumise alerte sur une multiplication des menaces de mort visant des élus" (18 octobre 2023)

La France Insoumise - "Le programme du Nouveau Front Populaire" (PDF, juin 2024)

Europe 1 - "Le député LFI Thomas Portes poursuivi en justice pour avoir accusé à tort un jeune juif français" (29 octobre 2024)

Ritimo - "Comment les médias français diffusent les idées de l'extrême droite" (1er octobre 2025)

Europe 1 - "La France insoumise dénonce une multiplication de menaces de mort et de harcèlements téléphoniques" (28 octobre 2024)

Ouest-France - "Législatives. La diabolisation des opposants à Emmanuel Macron" (2024)

La France Insoumise - "Scandale d'État : une cabale de Tracfin et des Émirats arabes unis contre un député LFI" (19 octobre 2025)

L'Insoumission - "Bolloré, Arnault, Drahi, Niel... Vers la fin des 9 oligarques qui possèdent les médias français" (17 novembre 2022)

OFCE - "Les principales mesures économiques du programme du NFP" (2024)

Le Dauphiné Libéré - "Scandale d'État : le député LFI Carlos Martens Bilongo victime d'une ingérence étrangère" (20 octobre 2025)

Oxfam France - "Média crash : l'indépendance des médias en question" (21 septembre 2023)

Le Monde - "Le député LFI Carlos Martens Bilongo, un temps visé par une enquête de Tracfin" (21 octobre 2025)

ISCPA - "Les médias français - Cartographie" (3 janvier 2024)

Acrimed - "Gramsci, critique des médias" (30 septembre 2025)

Institut Montaigne - "Abroger la réforme des retraites, restaurer la retraite à 60 ans" (2024)

L'Insoumission - "Lettre ouverte d'organisations juives en défense de La France Insoumise" (10 avril 2025)

L'Anticapitaliste - "La bataille de l'hégémonie : les médias, l'extrême droite et nous" (30 juillet 2024)

Capital - "Smic, retraites… Le NFP peut-il mettre en œuvre ces mesures par simple décret ?" (8 juillet 2024)

Fondapol - "La France insoumise accusée d'antisémitisme : entre faux procès et vrais problèmes" (4 août 2022)

Tout sur mes finances - "Programme NFP législatives 2024 : smic, retraite, APL, prix" (20 juin 2024)

Politis - "Le pluralisme des médias, cible de l'extrême droite" (14 juillet 2024)

Histoire et immigration - "Le rôle des médias dans la diffusion des idées du Rassemblement National" (30 juin 2024)

Sénat - "Concentration des médias en France et impact dans une démocratie" (6 avril 2023)

UNSA Education - "Idées d'extrême-droite, histoire d'une normalisation" (8 octobre 2025)

La France Insoumise - "Menaces de mort contre LFI : jusqu'où ? Jusqu'à quand ?" (13 janvier 2025)

CNRS Le Journal - "Comment sauver le pluralisme des médias ?" (21 février 2022)

Le Monde - "Comment les thèmes favoris du RN ont peu à peu colonisé les médias traditionnels" (25 juin 2024)

Arrêt sur images - "Législatives : le RN a réussi à vendre la dédiabolisation aux médias"

(13 juin 2024)

Ouest-France - "Menacés de mort par un écrivain franco-israélien, des députés de la France Insoumise portent plainte" (28 février 2025)

Bon Pote - "10 réponses sur le programme économique du Nouveau Front Populaire" (19 juillet 2024)

The Conversation - "Pourquoi le Nouveau Front populaire et son programme commun ne sont pas d'extrême gauche" (4 juillet 2024)

CADTM - "Nouveau Front populaire : un programme économique d'alternative au macronisme" (15 janvier 2025)





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