

C’est pas du Bashung, c’est du Nietzsche
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C’est pas du Bashung, c’est du Nietzsche
Vivien Savage, La P’tite lady (un petit chat sauvage) (V. Savage/J-C. Capillon), EMI, 1984.
C’est difficile d’arriver à mettre le doigt sur les raisons qui font qu’une chanson nous touche particulièrement. Pour La P’tite lady, cela tient au flot des mots, à la façon dont les figures s’empilent, à la scansion saccadée de Vivien Savage, à sa voix aussi, profonde, éraillée, ironique, une voix de velours qui se déchire.
Le chanteur a ici des faux airs de Bashung qui a imposé une sorte de pli au rock français au début des années 80 avec Gaby oh ! Gaby et Vertige de l’amour. On nage un peu dans les mêmes eaux, au milieu des algues et des coraux.
Les paroles de Vivien Savage emboîtent les cahots d’une route déglinguée faite d’ornières et de nids-de-poule, qui va on ne sait pas trop


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