J'ai testé DALL-E 3 sous Microsoft Copilot. Et ça mérite d'être raconté.

Si.

Parce que je me suis follement amusé.

“Intelligence”, c’est vite dit.

Ceux qui me connaissent savent à quel point je peux être critique envers les “Intelligences” Artificielles. Pour résumer : artificielle oui, intelligence pas du tout.

Ce genre d’outils permet tout de même de produire rapidement des trucs assez bluffants, avec une bonne prise en main. Ce qu’on ne vous dit pas quand on vous montre des images particulièrement réussies, c’est qu'elles sont réalisées à partir de prompts très travaillés. Je dirais même, ciselés avec précision. La rédaction de ces prompts demande un certain travail en amont et de l’imagination.

En terme d’imagination, ça va. Je n’en suis pas dépourvu.

Donner des instructions précises, ça va. Cela fait un peu partie des compétences de bases pour mon métier de Préparateur Méthodes.

Il est tout de même conseillé de rédiger les instructions en anglais pour que l’algorithme les comprenne mieux…⁽¹⁾ Là encore, je sais faire.

Certes, échanger avec l’interface sur le ton de la conversation peut faire illusion auprès d’un utilisateur non averti. Mais il faut bien comprendre que le logiciel de création d’images ne fait qu’exécuter des lignes d’instructions. L’interface de dialogue d’un outil comme Copilot ou ChatGPT n’est là que pour traduire vos mots dans un langage compréhensible par le logiciel.

Ce détail ne pas empêché de m’amuser follement et de générer en quelques heures une belle quantité d’images. Ce qui m’aurait pris des semaines avec des moyens de production classiques.

Première série de créations : Mira

De nombreux projets se bousculen