 
                     
                    J'ai des fils de partout...1/2
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J'ai des fils de partout...1/2
J’ai des fils de partout, chargeur de batterie, écouteurs, …
Comme s’il fallait que je sois branchée pour fonctionner. Pour me compléter la condition humaine, du son dans mes Zoreilles, un écran sous mes doigts, …
Jeudi : dépasser le pouvoir et la vengeance pour trouver la puissance.
Je suis fatiguée.
Je ne suis pas sûre de ce que je ferai de la puissance après tout.
Alors que la vengeance…dès le petit dèj entre deux cafés/clopes…miam.
J’ai été élevé à la boite de ravioli de sous-marque. Encore aujourd’hui, j’apprécie peu les saveurs délicates. Je reviens toujours de temps en temps à cette pâte industrielle de mon enfance. De moins en moins néanmoins.
J’ai été élevé…bien grand mot. Aujourd’hui, je commence à comprendre que ce que j’y mets est tout à la fois particulier, appartenant à toutes ces expériences qui font de moi ce que je suis aujourd’hui, et…un peu de ce que j’ai pu apprendre de ce que je n’ai pas vécu, mais que j’ai réussi plus ou moins à mettre en parallèle avec ces expériences.
Il y a une phrase dans une chanson d’Anne Sylvestre : « On ne dit plus rien lorsque des enfants ont faim. Mais on ouvre sa bourse pour sauver des chiens. »
Et bien…je suis mitigée. Parce que je crois bien avoir été nourrie comme un chien à l’intérieur de la maison, mais considérée comme une enfant en dehors. Qui plus est, une enfant difficile. Qui fait pleurer sa mère.
Alors que suis-je ? Chien ou enfant ?
Je pose cette question le plus sincèrement possible. Pour avancer.
Ni l’un ni l’autre, mon Capitaine.
Tu peux être ce que tu veux.
C’ets une chance. Comprenez-moi bien. Je le pense sincèrement. Plus le décalage est grand, plus il est visible, sensible et donc accessible.
Si je ne suis ni un chien, ni une enfant qui fait pleurer sa mère, je peux être ce que je veux.
Sans oublier.
Accoucher ? A couché ?

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hace 4 meses
Un texte où je me retrouve, qui dit tant de choses justes, merci Alexia