

ETHIQUE ET POLITIQUE (Quatrième partie)
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ETHIQUE ET POLITIQUE (Quatrième partie)
Tant que la quasi-totalité de nos dirigeants de premier plan fera preuve d’arrogance, de cynisme, d’incohérences, de mensonges ou encore d’hypocrisie, d’entre-soi, de relations de proximité avec l’industrie financière, les choses ne pourront pas évoluer dans le sens des citoyens : nos dossiers ont prouvé que l’opacité créait l’impunité et qu’il valait mieux être fraudeur fiscal qu’aider le Ministère des Finances à recouvrer des sommes ayant échappé aux caisses de l’Etat.
Le sujet financier est sensible ; un autre exemple concret nous le révèlera. En 2019, Maxime Renahy, un citoyen français ayant travaillé à Jersey, nous informait de schémas mis en place par des avocats et des banquiers pour “piloter à distance une liquidation frauduleuse, des délits d’initiés, des rétro-commissions pour des multinationales ou des politiciens et cacher véritablement des investissements dans les pays étrangers” (Là où est l’argent, Les Arènes). En guise de remerciements, de marque d’intérêt et de soutien, ses révélations lui ont valu un boycott – une censure (?) - de la part de la mairie de Besançon, lui interdisant l’accès à un salon littéraire de la ville en septembre 2019. Cela ne peut que me rappeler le boycott – la censure (?) – médiatique réservé à mon dernier ouvrage ainsi que le traitement que m’ont réservé les media mainstream nationaux durant la campagne des élections européennes du printemps 2019 lorsque candidate, deuxième sur la liste Debout la France conduite par Nicolas Dupont-Aignan, aucune interview nationale ne me fut accordée.
La liberté d’expression étant au coeur notre Constitution, elle représente une partie des valeurs de la France à l’international. Le traitement des vigies citoyennes que sont les lanceurs d’alerte est à géométrie variable : certains lanceurs d’alerte ont été ultra-médiatisés lorsqu’ils sont allés vers des journalistes ; d’autres ont été complètement oubliés par
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