

Dossier UBS : affaire géo-économique ? (Deuxième partie)
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Dossier UBS : affaire géo-économique ? (Deuxième partie)
Cas d'Ecole
Imaginons un cas d’école proposé par "La femme qui en savait vraiment trop" :
Photo : Couverture du premier ouvrage de Stéphanie Gibaud "La femme qui en savait vraiment trop" (https://www.lisez.com/livre-grand-format/la-femme-qui-en-savait-vraiment-trop/9782749135083)
« Et si moi, Stéphanie Gibaud, je n’avais pas été contactée par des fonctionnaires du SNDJ (Service National des Douanes Judiciaires) mais par d’autres agents ?
Si les cartes que l'on m'avait présentées avaient été de fausses cartes au drapeau 'bleu-blanc-rouge', j'aurais certainement collaboré avec ces personnes qui, dans le sous-sol d'un grand magasin, m’ont demandé de sortir des informations confidentielles de la banque UBS alors que j’étais en état de faiblesse. (La femme qui en savait vraiment trop, Cherche Midi, chapitre 20 « Allo ! , ici la douane »)
Ils auraient pu être de faux agents. Il leur aurait été possible de simuler que leur bureau n'était pas au Ministère des Finances. Les services secrets ou les cabinets privés d'espionnage savent le faire. On fait croire à quelqu'un, déjà impressionné par le côté étatique de cartes 'bleu-blanc-rouge' que le réel est ce qu'il voit. Le réel est tout autre : j'aurais pu me faire embarquer et donner des informations confidentielles à d'autres ... - à d'autres, c'est-à-dire : pas à l'Etat français !
Je ne l'ai pas fait ! J'ai remis les documents aux services étatiques français !
A quel moment ai-je été défendue par l'Etat ?
La notion de collaborateur occasionnel du service public est une théorie jurisprudentielle permettant d'indemniser, sur le fondement de la responsabilité pour risque, les personnes victimes d'un dommage alors qu'elles participent, de manière occasionnelle, à l'exécution d'un service public. J'ai été reconnue par le tribunal adminstratif collaboratrice occasionnelle du service public.
Indemnisation pour ma vie détruite ? 0.
J’ai écrit à la DGSE et la DGSI pour demander de me faire expliquer par les experts de ces services pourquoi on m’avait laissée seule dans l’incompréhension de ce qui se passait. A quel titre ceux qui défendent les intérêts français ne s
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