

8 SEPTEMBRE 1944, UN PORT S'EMBRASE, UNE VILLE PLEURE...
Non puoi leggere altre pubblicazioni questo mese senza aver effettuato il login.
Per sfruttare appieno le nuove funzionalità, accedi o crea un account facendo clic qui sotto: è gratis!
Accedi
8 SEPTEMBRE 1944, UN PORT S'EMBRASE, UNE VILLE PLEURE...
UNE NUIT D'ENFER
Qui est cet homme qui un jour d’explosion, et pas de rire, va passer une nuit d’enfer dans sa ville de Brest ?
Un élément de réponse...
Le commandant se trouvait là, près de l’escalier, entre la rue de Siam et l’abri Sadi Carnot, descendant l'escalier de pierre qui y menait. Une hantise prémonitoire, l’expédia tel un simple coli dans son passé de Marin.
Cet homme solide se souvenait de ce vaisseau fantôme. Un bateau céleste qui hantait les êtres humains, du Sud au nord de leurs questions. Perdant la boussole, et tirant des bords de travioles. La mer, si vaste, restera source de mystère en son fond. Bise des abysses. Aussi dans le ciel orange orage, clair de plu
Questo è un articolo Prime
Per accedervi, iscriviti alla Creative Room Au gré de mes humeurs di Jean-François Joubert
Vantaggi dell'iscrizione:
Accesso completo a contenuti esclusivi e archivi
Accesso preferenziale a futuri contenuti
Commenta le pubblicazioni dell'autore e unisciti alla sua community
Ricevi una notifica per ogni nuovo articolo
Iscriversi significa sostenere un autore a lungo termine
Iscriviti alla Creative Room

Non puoi leggere altre pubblicazioni questo mese senza aver effettuato il login.
Per sfruttare appieno le nuove funzionalità, accedi o crea un account facendo clic qui sotto: è gratis!
Accedi
Le bloc commentaire est réservé aux abonnés.
Iscriversi significa sostenere un autore a lungo termine
Iscriviti alla Creative Room