

Chiennes de garde
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Chiennes de garde
La sonnerie du téléphone retentit au loin, Alia sursaute foudroyée par une peur soudaine. Un flot d’images l’envahit brusquement, elle ne contrôle plus sa tête, sa mémoire et les battements de son cœur. Elle ne contrôle plus rien. Un visage plissé surgit, des yeux noirs alourdis par le maquillage la scrutent et l’agrippent. Des mots résonnent comme de profondes blessures l’étouffent. Son corps se souvient malgré elle. Malgré les années et la distance. Comment n’a-t-elle pas pu oublier ? Pourquoi le temps n’a pas soigné ses meurtrissures ? Elle pensait pourtant avoir tourné la page, mais cette maudite sonnerie d’un téléphone istanbuliote la ramène ligotée à ses souvenirs à Alger.
Tout lui revient. Ses innombrables insomnies, ces longues nuits blanches ou les mots imparables de Madame


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Luce 6 mesi fa
je suis plutôt partisane de séparer l’homme de l’artiste mais effectivement ça dépend des personnages et des histoires… je ne suis pas fan des chiennes de garde de toute façon! les femmes qui veulent faire payer aux hommes restent dans la vengeance alors que je serais plutôt pour la reconnaissance mutuelle respectueuse… il y a plusieurs textes où nous avons échangé la dessus avec d’autres écrivain(e)s de Panodyssey. c’est un long débat 😉