

Niassa
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Niassa
Je te regarde,
Te pavanant dans ton boubou coloré
Ma douce amie tant désirée,
La peau dorée de ton cou, la forme oblongue de tes seins pointant sous la wax, ondulant à chacun de tes pas.
Tu envoutes le lodge, luxe indécent et improbable dans la savane du Mozambique.
Se retournant, tu m’offres sous les volutes de coton chatoyant, ô mon dieu quelles fesses, quelles hanches !
La générosité de tes formes rondes me rendent fou.
Fou de ton joufflu je suis, avide de tes seins, mes mains me brûlent.
J’imagine, entre tes cuisses, remonter vers ton mont de Vénus.
Chaleur humide, tropicale, il me tarde de caresser ta peau.
Je brûle, je tremble, prête à vaciller. Mon sang pulse entre mes cuisses, à chacun de tes regards je contracte mon sexe et mes fesses, et je me relâche. Je sens cette vague torride m’envahir, me détendre et profondément se diffuser.
D’imperceptibles ondulations, je voudrai te guider ou te laisse aller.
Mes tétons sont durs et légèrement douloureux, de plaisir mes seins se gonflent et ma vulve devient humide.
Insolente, et souveraine, je m’allonge sur cette méridienne, la brise par la fenêtre vient caresser mon cou. L’étoffe glisse de mon épaule et d’un mouvement, je laisse délicatement ma cuisse se dévoiler. Une invitation.
(générée IA Perplexity)
Je m’agenouille à tes pieds de déesse abyssinienne,
Glisse le long de tes mollets fins et musclés, soulevant ta tunique, ma bouche embrasse le creux de ton genou, je m’en délecte plus fort et te sens t’embraser.
À ton bon plaisir, je me délecte de cette mise en scène sensuelle. Narcissique un peu. J’aime à me voir aussi, reflet dans le miroir en face de moi. Et je me caresse, ferme les yeux, ressens ta bouche venant mordre mon sein, ta main glisser sous ma robe, entre mes cuisses.
Je relève délicatement ta robe au-delà de tes cuisses, te découvrant nue sous ton habit. Tu soulèves un peu tes hanches et je peux te libérer de tes atours colorés.
Mon sein se gonfle et tremble sous la caresse de tes lèvres. Je sens ta langue découvrir les délicats reliefs de mon mamelon. Tourner sur l’aréole brune et venir chatouiller la pointe du téton,
Tes dents venir délicatement exercer une pression, sans douleur mais néanmoins sensible.
Un index suivant la ligne séparatrice entre tes cuisses, glissant au creux de ta vulve , un pouce attaquant par l’autre sens, cherchant le bourgeon délice, calice.
Je ne bouge pas, tu m’en as intimé l’ordre. Je reste offerte.
Généreuse. Tu te joues de ma pudeur, je laisse tomber mes complexes.
Savourant chaque frôlement, chaque baiser.
J'assume ma féminité et tombe les principes de bienséance et m’offre à tes caprices, ou ai-je le caprice de t’inviter à me faire jouir ?
Maitresse soumise et courtisane.
Devines-tu que je céderai à tous tes fantasmes, toutes tes lubies dés lors que je serai repue de plaisir, humide et ouverte.
Alors exécute toi ! Viens prendre ce sein, vient mordre mon sexe, glisse ta langue et tête mon con.
Ne me pénètre pas … pas de suite, ni des doigts ni de ton sexe. Seule ta langue est autorisée.
Fais moi jouir ainsi, et je t’accueillerai là et comme tu le veux, ici à Niassa.


Jean-Christophe Mojard hace 11 horas
Quel retour jouissif !