Confidence de plume

6 novembre 2025

Je termine le remaniement de ma longue nouvelle Le Complexe et voici ce que ma playlist musicale me propose : Pan's Labytinth ! Panodyssey est tellement présent que tout terme avec Pan m'y fait penser. Et on en parlait justement sur une messagerie privée.

#ConfidenceDePlume : oui, il m'arrive donc d'écrire avec la musique. Pour les poèmes, je préfère composer dans le silence de mon intimité créatrice, mais il en est autrement pour l'écriture des nouvelles ou des romans.

Si vous avez lu Le Kyklos, avant son changement de nom et son remaniement, vous vous doutez bien du style de musique d'où je tire cette capture d'écran. Et puis, les plus observateurs auront noté le nom du compositeur : Javier Navarette, à qui l'on doit l'excellente bande-son de Mirror.

En dehors des bandes originales de films d'horreur, me voici donc dans les méandres musicaux du Labyrinthe de Pan, cela valait bien cette capture d'écran.

Le Complexe

J'en profite pour vous donner quelques informations sur mon écriture du moment et cela concerne la nouvelle Le Complexe. Pourquoi sa suppression de Panodyssey et du Flux Littéraire ? Pourquoi son remaniement ?

Tout simplement, pour des problèmes de droit et de par sa complexité. En effet, Le Kyklos est un ancien complexe, en ruine, situé à Port Leucate. Son nom reste associé à son identité et aux héritiers du bâtiment. Je préfère donc prendre les devants.

Cependant, un simple changement de nom ne suffit pas à justifier le retrait total et le remaniement. Vous avez raison.

Le Complexe a profité de son changement de nom pour venir s'implanter du côté de Gascq. C'est désormais là que je plante les graines de toutes mes publications horrifiques. Et, par souci d'apporter de la crédibilité au récit, j'ai pris des notes sur ce qui entoure ma petite ville.

Par la même occasion, comme Le Complexe a pris beaucoup d'ampleur pour devenir le roncier qui s'étale sous mes yeux, il me fallait combler les manques de la nouvelle initiale. À force de complexifier le contenu, les personnages, leurs rapports entre eux, des incohérences commençaient à poindre leur nez entre les passages publiés en amont et ceux qui suivaient.

Le "ta gueule c'est magique" ne s'applique pas à un récit qui s'étoffe. Il ne s'appliquait déjà plus à mes parties de jeux de rôle, alors, il n'était pas question de laisser prendre ses aises.

La publication ?

Le LinkTober2025 m'a fait repousser l'écriture d'un mois en raison des publications inédites et quotidiennes sur LinkedIn, mais Le Complexe arrive. Je suis dessus quotidiennement, presque jour et nuit. Il sera prêt pour novembre. Puis, dans la foulée, ce sera Krampus et le Jólakötturinn, ce qui nous conduira aux portes de Noël.

Vous pourrez donc lire Le Complexe sur Panodyssey, c'est une évidence, mais également sur Le Flux Littéraire. Il ne s'agit pas de concurrence, mais plutôt d'une façon d'accommoder celles et ceux qui veulent lire sur une plateforme certifiée, et le lectorat qui préfère ne pas divulguer d'informations, ce qui peut évidemment se comprendre.

Je rassure donc celles et ceux qui me lisent : les deux plateformes hébergeront mes graines horrifiques. Avec cet espoir qu'un jour, Panodyssey héberge carrément mes livres numériques. Cela n'est pas pour demain, mais il est permis de rêver entre deux cauchemars, non ?

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Je suis Jean-Christophe Mojard, poète et nouvelliste. Ce texte est une création 100% humaine. Il n'est pas destiné à alimenter l'IA, et bénéficie de son empreinte horodatée que certifie Panodyssey. Le droit français s’applique et par là même la notion de copyright anglo-saxon comme stipulé par la Convention de Berne de 1886, complétée à Paris en 1896.

Si le cœur vous en dit, vous pouvez me lire ici, sur Panodyssey et sur Le Flux Littéraire. Vous pouvez aussi me suivre sur le fédivers, via Mastodon, ou plus sporadiquement sur LinkedIn.