Amiteusement vôtre
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Amiteusement vôtre
Au-dessus des têtes stagnaient les nappes de fumée à l’image de ces cabarets existentialistes dans lesquelles l’air pianoté par Victor aurait été apprécié si à ses côtés Lindsay n’avait pas susurré faux.
Personne cependant ne semblait en état de s’en apercevoir.
Surtout Sophie, une fesse au bord du fauteuil ; elle surveillait la tringle à laquelle Philippe s’obstinait à s’accrocher, tringle qu’elle venait de placer au plafond dans l’après-midi pour y suspendre les voiles entre lesquels le danseur aurait pu s’étouffer.
Ce qui (n’y voyez aucun mal) aurait drôlement arrangé Sophie.
Marcel lui pinça la fesse libre pour la distraire : c’était mal connaître Sophie (mais n’était-il pas son mari ?)
La soirée avait bien commencé
si l’on exceptait les critères du quartier Château d’Eau-Lancry.
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