Pour son abandon
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Pour son abandon
Fin novembre 1983 je suis traînée par une amie à Beaubourg.
Musée à double face dont on ne sait laquelle est la vraie : celle bariolée de volumes ou l’autre en transparence ?
La réponse est à l’intérieur comme toujours,
révélant un univers maîtrisant le langage du rêve, celui d’un artiste que je découvre
dont le tracé d’angles sur fond de lignes est valorisé par des teintes chaudes tellement proches à mes yeux de ces photos d’antan que le temps a légèrement gommées.
Révélation
devant ces portraits de jeunes filles qui de l’aveu de leur créateur, personnifient les anges …
Anges nous troublant au premier regard par
ce qu’ils semblent impudiques mais ne montrant en fait que leur innocence.
Un tableau a depuis ma faveur.
Peut-être pour chaque antithèse :
elle est assise
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Chantal Perrin Verdier il y a 1 an
J'ai hésité avec Satie (je salue votre intuition ;-)
Merci infiniment. Je suis ravie de vous avoir entraîné dans cette valse.
Balthus fait partie de mes peintres préférés.
Julien Ziemniak il y a 1 an